« Il est plus doux de donner que de recevoir. »

« Il est plus doux de donner que de recevoir »
[PV ▬ Matabei]

Il avait apprit au fil des années à faire tomber les remparts des jeune femmes qu’il convoitait. Il avait réussit à passer des murailles pour atteindre ses buts et pourtant et pourtant, toute cette expérience ne vallait rien face à sa cousine qui… et bien était sa cousine, point. Ils ne pouvaient rien se permettre d’aussi extravagant, ils étaient de la même famille, dans leur corps coulait le même sang, à quelques pourcentages près. Elle était une tentatrice née ou il était un charmeur ce qui faisait deux, deux personnes qui ne cessez de plairs et qui pourtant, n’avaient point le droit de se charmer mutuellement, bien qu’ils s’amusaient à ce petit jeu de temps à autre. Comme aujourd’hui. Ses mains sur les hanches de la jeune femme, il ne faisait que frémir légèrement en sentant son soufle chaud dans sa nuque.

▬ Si seulement nous n'avions pas le même sang... Tu m'aurais sûrement déjà violé pour ne pas avoir sucombé à tes charmes depuis plusieurs années…

De sa main libre, il ne tarda pas à attraper les doigts baladeurs de sa cousine qui semblaient bien attentionnés, mais qui n’avaient pourtant pas lieux d’être dans un pareil endroit. Avec une inifini douceur, il déposa cette main sur son épaule tout en continuant de regarder la belle droit dans les yeux, si proche de lui qu’il pouvait d’un seul mouvement de tête s’emparer de ses lèvres. Il se l’interdisait pourtant et son visage était toujours aussi souriant. Qu’elle femme… Son indexe se posa sur les lèvres de la belle, lui intimant de ne plus rien dire tout en la repoussant lentement et tendrement, ne préférant pas tenter le diable plus que de mesure. Il savait qu’à ce petit jeu la, Beita était la meilleur et avait surement réussit à en faire craquer des bien plus résistant que lui.

▬ Aucunes d’elles ne m’a maudit… seulement leur mari.

Son sourire devint bien plus carnacier. Lui aussi avait réussit à en faire tomber plus d’une et bien nombreux furent les hommes cocufiés à travers le monde. Il avait eu des problèmes durant sa jeunesse à cause de ce petit côté malsaint, mais avec l’âge, il s’était calmé et faisait à présent ça avec bien plus de délicatesse et de finesse. Un véritable maître dans son art presque divin. Oui madame. Croisant légèrement les jambes, il fit jouer son bassin afin de balancer la jeune femme et au final la faire tomber plutôt violement sur le dos, échangement de fait les places de base. Il savait que la douleur au niveau de ses cuisses était supportable pour ce genre de « galipette ».

▬ Alors, Beita-chaaaan… dis moi, as-tu trouver homme qui puisse te combler ou ceux de Konoha ne sont définitivement pas à la hauteur ?

Souriant, il ne tarda pas à appuyer légèrement avec sa cuisse au niveau du bas ventre de sa cousine, s’amusant de sa position de dominant. Il avait au préalable plaqué les mains de la belle au sol, utilisant sa force pour ne pas qu’elle puisse… tenter quoi que ce soit contre lui.

Elle s'était tût pour le laisser parler comme le lui intimait son doigt. Ne répondant pas, ou tout du moins pas encore, à ses provocations et n'arborant qu'un doux sourire. Se laissant pour ainsi dire monter, elle se retrouva bien rapidement sur le dos et avec Sei dévoreur sur elle. Sachant très bien qu'ils n'iraient jamais plus loin, elle lui laissa le loisir de maîtriser son corps, ses doigts se refermant entre ceux du puissant shinobi alors qu'elle avait la tête posée au sol, ses cheveux blonds auréolant son beau visage alors qu'il pouvait voir sa poitrine se soulever doucement au rythme de sa respiration.
Souriante, elle fit remonter l'une de ses jambes contre celle de son cousin, parvenant jusqu'à son flan tandis que lui-même se jouait d'elle. Mais bien rapidement, le mollet de la belle vint enlacer ses reins et d'un habile mouvement, elle le plaqua contre son corps avec force, le retenant d'une jambe tandis que l'autre jouait de sa chair contre la sienne dans des caresses languissantes.

Elle releva alors légèrement le visage vers lui, son nez frôlant le sien dans une délicieuse et infinie tendresse, ses yeux s'attardant sur ce toucher frugal alors qu'elle respirait son souffle avec plaisir. Quelques mèches de son cousin finissaient par tomber sur elle, s'égarant sur son visage alors qu'elle les repoussait d'un vent fait de sa bouche. Remontant légèrement son beau fascié, ses prunelles rouges de démone se fixant dans les siennes, elle souriait de cette perversité qui la caractérisait tant, ne perdant pas le contrôle dans cette joute où elle se sentait toujours dominatrice malgré tout et comme toujours.

" Pourquoi cette question ? Aurais-tu quelque chose à me proposer Sei-kun ? "

Sa bouche effleura d'un baiser le nez de son cousin, redescendant lentement et baissant son visage, il sentit l'espace d'une infime et sublime seconde sa lippe qui s'attarda sur la sienne dans un frôlement innocent alors que sa bouche déviait à nouveau reprenant son chemin vers son cou et son oreille. Sa respiration galopait sur sa chair et elle lui offrait tout le plaisir d'humer l'odeur de sa chair et ses cheveux qui sentaient le combat et qui avait le don d'exciter les sens.
Ses dents se refermèrent sur la peau de son cou, roulant entre le bel émail pour finalement être libérée et cajolée d'un coup de langue habile avant qu'elle ne vienne chuchoter dans le creux de son oreille le même genre de question dont il l'avait gratifier.

" Et toi alors ? Tu n'as toujours pas trouver de femme qui pourrait te mettre la corde au cou ? Tu devrais te dépêcher... Tu n'es plus très jeune Sei-ojiisan . "

Elle reposa alors sa tête au sol, remontant sa seconde jambe là où se trouvait la première pour le saisir plus fermement encore, lui intimant de se retrouver au plus proche de son corps sans qu'il ne puisse se défaire aussi facilement de son étreinte sans lâcher les mains de la belle qu'elle tenait également entre ses doigts. Finalement il s'était mis dans une bien mauvaise position contrairement à ce qu'il devait croire.

« Il est plus doux de donner que de recevoir »
[PV ▬ Matabei]

Frissonnant, il était décidement un bien faible homme qui appréciait véritablement les charmes de bon nombres de femmes et malheureusement, il trouvait en cette femme, un défis au dessus de toutes normes. Elle était sans aucun doute l’une des plus belle femme du village, mais aussi l’une des plus dangereuses. Tout contrôle elle et retenu par les jambes de sa cousine bien malgré lui, il devait avouer que très peux d’hommes avaient sut résister à ses charmes, pour ne pas dire aucuns d’après lui. Ils n’avaient pas la même façon d’abborder les gens, mais au final, ils arrivaient toujours à les mettres dans leur lit, ce qui était extrêmement gratifiant… au final.

▬ Ooooh ! Je pourrais te présenter mon élève, je suis sur qu’il pourrait te surprendre, il a bien grandit tu sais !

Il parlait de son petite Katsuo, un petit perfectioniste qui était devenu avec l’âge un brillant Shinobi. Aujourd’hui âgé de dix huit ans, il était encore jeune, mais sa force n’était plus à démontrer et il pourrait surement offrir une bonne soirée à sa cousine. Il était son meilleur élève après tout, il l’avait formé dans bien des domaines et avait été surement un deuxième père pour lui. Il ne tenait pas aussi bien l’alcool que lui, mais s’en était que plus drôle lorsqu’ils se retrouvaient tous les deux après quelques missions. Frémissant toujours autant, la belle blonde savait attiser les désirs des hommes et bien malgré lui, il devait avouer qu’elle réussissait parfaitement dans sa démarche.

▬ Ce n’est pas très gentil de me le rappeler Beita-chaaaan ! Mais je n’ai pas encore trouvé pareille femme et j’en suis bien content. Je préfère être un fier papillon, volant et butinant les nectares esquits des belles fleurs qu’un tigre en cage.

Au plus proche d’elle, retenue autant par ses jambes que ses mains, il ne pouvait rien faire sans véritablement forcer et surement lui faire forcement mal. Il ne pouvait donc que profiter de cette proximitée, se vengeant d’une certaine façon, forçant sur ses bras pour faire remonter les mains de la jeune femme au dessus de sa tête, son propre visage s’enfouissant dans sa nuque pour y respirer son parfum qui n’était plus qu’un souvenir, laissant place à l’odeur de sueur qui n’était pas si puissante que ça venant de la jeune femme. La tentation était divinement grande et il fit un léger coup de bassin fort expressif tout en embrassant cette peau chaude qui lui était offerte. Sa langue gliçant de haut en bas, ses lèvres déposants quelques baisers, mais cela n’engageait définitivement à rien.

▬ Huuuuu… Voilà qui est appétissant…

Mordant le lobe de son oreille avant de faire un nouveau mouvement de bassin, il se redressa ou tout du moins, il tenta tout en plongeant son regard dans celui de la jeune femme. Il avait gouté à sa chaire, mais il n’en gouterait pas plus. Forcent de nouveau, il ramena ses coudes au niveau des cuisses de la jeune femme afin de lui provoquer quelques douleurs, cette dernière devant le défaire de son étreinte pour qu’il puisse rapidement se redresser, l’attirant à lui tout en la faisant tourner, enroulant les propres bras de la jeune femme, l’emprisonant entre ses bras, souflant dans ses longs cheveux blonds. Elle était totalement prise d’en son étreinte.

▬ Il serait temps de rentrer Beita-chaaaan, monsieur l’Hokage pourrait s’inquieter !

Ne prenant pas la peine de lui répondre qu'elle n'était pas intéressée par les enfants tout juste sortis des jupons de leur mère, elle se contenta de lui adresser un sourire charmant. Le laissant remonter ses mains au-dessus de sa tête, il vint à s'allonger sur son corps et à enfouir son visage dans son cou. Elle avait légèrement tourné la tête sur le côté tandis que ses jambes avait pris plus de fermeté pour le maintenir allongé sur elle. Soupirant d'aise au contact de sa langue, elle n'avait pas manqué d'apprécier le mouvement suggestif dont il venait d'user, offrant un nouveau sourire amusé à son visage déjà bien enjoué de la situation.
Tournant son visage, sa bouche frôla son oreille avant qu'elle ne lui réponde finalement.

" Mais le papillon ne vit qu'un temps Sei... "

Il le pourrait indéfiniment jouer les butineurs, il devrait trouver une femme et offrir la prochaine génération des Hōjō et il avait déjà bien assez traîné sur la chose. Il avait déjà plus qu'une quarantaine d'année et aucun enfant à choyer, éduquer.
La data fatidique approchait également pour Matabei mais elle avait encore quelques année devant elle avant d'envisager de procréer même si depuis quelques jours tout l'avenir qu'elle s'était imaginer avait pris un tournant décisif qui ne lui offrirait pas le bonheur d'être mère.
Le laissant mordre le lobe de son oreille, elle croqua sa langue tandis qu'elle se plaisait à l'entendre la trouver appétissante. Elle se souvenait encore de lorsqu'ils étaient enfants, des folles déclarations d'amour qu'elle lui offrait et des promesses de mariages qu'elle lui demandait. Si tout n'était que jeux dans ses paroles, les sentiments mis en jeu eux étaient concrets et réels même si à présent ils avaient quelque peu changé.

Elle vint alors à lâcher d'un seul coup ses reins tandis qu'il appuyait ses cuisses pour forcer son étreinte à se casser. Se relevant dans la foulée qu'il lui offrait, elle se retrouva prise dans l'étau de ses bras, sa tête reposant sur son torse alors qu'elle levait les yeux vers lui. Lentement, elle les ferma, posant une joue chaud contre lui, son souffle chevauchant sa peau alors qu'il la soutenait sous sa poitrine et qu'elle se laissait aller contre lui avant de relever à nouveau son visage vers lui et de lui demander tout en souriant comme une délicieuse enfant.

" J'ai le droit d'être portée comme tout à l'heure ? "

« Il est plus doux de donner que de recevoir »
[PV ▬ Matabei]

Il était temps oui, mais tout comme elle, il n’avait toujours pas trouvé « chaussure à son pied » et se contenter de goûter les femmes qu’il rencontrer comme si elle n’était que de la nourriture pour un cuisinier comme lui. Conquérant dans l’ame, il n’avait pas encore trouvé une nation qui saurait lui résister et qui au final, deviendrait une compagne digne de ce nom. Souriant, l’homme ne tarda pas à relacher la jeune femme de son étreinte avec tendresse, oui, elle allait voir le droit d’être portée par son cousin. Après tout, elle ne pouvait pas aller bien vite à cause d’une telle blessure, il ne pouvait pas la laisser ainsi.

▬ Ne bouge pas Beita-chaaaan…

Allant récupérer son chapeau ainsi que ses verres et sa bouteille de saké, il ne tarda pas à ranger le tout dans une de ses sacoches avant de récupérer les tissus blancs souillés par le sang de sa cousine. Ca ne servait plus à rien à présent. Se plaçant derrière elle, il se pencha tout en se désaxant légèrement ou pouvoir passer son bras derrière son dos et ses jambes pour ensuite la soulever avec toute la délicatesse qu’il pouvait faire preuve. Resserrant ses prises, il ne tarda pas à prendre la direction du village en marchand assez lentement, s'inquiétant pour la jeune femme dans ses bras.

▬ Tu es bien installée ?

Attendant une hypothétique réponse, il ne tarda pas à se mettre à courir, esquivant les jeunes arbres de cette toute jeune forêt, attendant d’approcher de Konoha pour pouvoir sauter sur les branches et aller légèrement plus vite. Quelques minutes plus tard, pour ne pas dire heures, ils arrivèrent enfin au niveau des grandes portes et Sei fit une petite halte pour annoncer son retour ainsi que celui de Matabei, demandant à l’un des deux Chuunin d’aller prévenir l’Hokage qu’ils étaient de retour. Sans plus attendre, il la conduisit lui-même jusqu’à l’hopital, toujours dans les bras jusqu’à ce qu’il la dépose sur le lit qui lui était attribué par une infirmière, annonçant qu’un médecin allait venir s’occuper d’elle.

▬ Yare… Yare… Ces tenues sont tout simplement un régale pour les yeux…

Il faisait bien entendu référence à la jeune infirmière qui venait de sortir de la chambre. Souriant, il s’installant sur une chaise entre le lit et la fenêtre qui donnait sur une court extérieur et ne tarda pas à ressortir son brevage miracle pour se réchauffer en buvant la moitié d’une petite coupole, la tendant par la suite à sa cousine.

▬ Il fait bien frais ici tu ne trouve pas Beita-chaaan ?

Perdue dans ses pensées, elle s'était calfeutrée dans les bras de Sei comme lorsqu'elle était enfant. Elle observait le vague sans rien dire ne prêtant pas un regard aux hommes qui se trouvaient aux portes de Konoha, sa main refermée sur un des pans du kimono de son cousin alors que dans son esprit se jouait toujours la même scène, les mêmes mots, le même visage qui avaient marqué à jamais son esprit. Elle ne vit même pas qu'elle était arrivée à l'hôpital, ne sortant de ses pensées que lorsqu'il la posa sur les draps blancs et qu'elle quitta ses bras. La séparation avait quelque chose de douloureux comme si elle n'avait pas assez profité d'un moment qu'elle avait peur de ne plus jamais voir se faire à nouveau comme si le doute planait dans son esprit par rapport à un évènement futur.

N'offrant pas la réplique au jeune homme, elle regardait pas la fenêtre pensivement avant de finalement se retourner vers lui. Elle quitta son lit et vint s'asseoir sur les genoux du Hōjō, en travers de la chaise ses jambes reposaient sur l'accoudoir alors qu'elle était pendue à son cou, son visage caché et compressé sur son torse. Elle semblait humer et profiter de ce corps comme si elle craignait de ne le voir disparaître sur le coup.
Et doucement, elle ouvrit enfin après tout le mutisme dont elle avait fait preuve jusqu'ici, ses mots se perdant dans un murmure étouffé par les vêtements de shinobi.

" Ça serait si bien si rien ne changeait... "

La porte s’entrouvrit légèrement avant de laisser passer une infirmière qui referma derrière elle. En moins d'une fraction de seconde ce fut comme si la belle blonde n'avait pas bougé de son lit, elle n'était plus sur les genoux de son cousin et elle souriait à l'infirmière qui 'approchait d'elle et qui n'avait rien vu de son déplacement. Quelque chose avait changer chez sa cousine mais l'heure n'était pas encore aux révélations qui n'existaient elles-mêmes pas encore.
Lentement la jeune femme posa ses paumes sur les cuisses ouvertes de la blonde et doucement les plaies se fermèrent peu à peu pour ne plus laisser apparaître qu'une peau de pêche sans aucune cicatrice. Aussitôt le miracle fait, Beita leva une de ses jambes en l'air souriant avec plaisir en passant son doigt là où se trouvait son ancienne blessure. Une très légère douleur demeurait, le muscle devait prendre le temps de guérir plus particulièrement, d'ici quelques jours la belle poupée serait prête à repartir en mission.

L'instant d'après, elle était au bout de son lit, une jambe tendue vers son cousin. Le bas de son pantalon ayant été coupé lorsqu'elle était arrivée à l'hôpital, on pouvait voir le haut de ses cuisses ainsi que toutes la longueur de sa jambe qu'elle lui exposait fièrement alors que l'infirmière quittait déjà la pièce après lui avoir dit qu'elle pouvait dès à présent repartir sans faire trop d'effort. Une signature sur la tablette et elle repartait avec la feuille les laissant à nouveau seuls dans cette chambre.

" Tu peux vérifier si j'ai toujours une peau de pêche ? "

« Il est plus doux de donner que de recevoir »
[PV ▬ Matabei]

L’infirmière ne tarda pas à faire son petit travail, soignant la jeune femme à l’aide de ses jutsu médicaux, elle ne prit pas bien longtemps pour la remettre sur pied, lui assurant qu’elle pourrait rapidement reprendre le service actif après quelques petits jours de repos, ce qui était une bonne chose. Elle qui était la chef des forces spéciales, elle ne partait que très rarement en mission et à vrai dire; seulement les plus importantes et les plus dangereuses… comme celle qu’elle venait de réussir au prix d’une blessure assez superficielle il devait bien l’avouer. Il avait déjà vu pire, mais c’était après tout une bonne chose.

Un sourire apparut sur le visage de l’homme lorsque sa cousine lui tendit une de ses jambes qu’il attrapa avec une de ses mains, l’autre déposant le saké avant de remonter vers la partie charnue de ses cuisses, ses doigts glissants sur sa peau chaude et d’une douceur sans fin. Ses doigts remontèrent lentement, profitant du cadeau offert, l’arpentant sa aucunes limites.

▬ C’est tellement doux Beita-chaaan ! Quel est ton secret ?

Souriant, il ne tarda pas à s’avancer jusqu’au bout de son fauteuil, se penchant en avant pour déposer ses lèvres sur sa chaire nue, encore chaude sous l’effet de la technique de l’infirmière qui était à présent à l’extérieur de la chambre. Sa langue de tarda pas à remonter le fil de la jambe pour finalement s’arrêter, un sourire aux lèvres.

▬ Délicieuse…

Revenant à sa place initiale, il ne tarda pas à retirer les talons de la jeune femme pour attraper son pied et faire ce qu’il savait faire mieux que quiconque… un massage des pieds. Certaines l’avait appelé doigt de fée pour les caresses et les massages qu’il prodiguait. Autant Matabei excellait dans son art très particulier, autant lui était doué dans ce genre de choses… mettant à l’aise ses futurs conquêtes. Oh qu'il aimait faire du bien le vilain bonhomme.

Un frisson parcoura l'échine de Beita lorsqu'elle sentit la langue de son tendre cousin s'aventurer un bref instant sur sa peau. Ce qu'il y avait d'amusant à chaque fois qu'ils passaient du temps ensemble c'est qu'ils ne pouvaient tout deux s'empêcher de se toucher l'un et l'autre afin de se pousser chacun au paroxysme de la tentation. Puisqu'ils savaient tout deux qu'ils n'auraient jamais le droit d'aller plus loin et que les caresses qu'ils s'offraient avaient déjà de quoi bouleverser les moeurs de leur clan mais tant ce que tout ce la ne restait qu'un jeu...
Ramenant son torse vers l'avant, elle l'observa ôter sa chaussure avec intérêt, si quelqu'un savait bien comme les massages de Sei étaient bons c'était bien elle, Beita savait sûrement été son premier cobaye et il s'était exercé durant des heures sur les pieds de la jeune femme. S'il était si bon comme homme ce n'était finalement pas que grâce à lui mais aussi grâce à elle. S'allongeant de tout son long, elle cambra légèrement le dos en soupirant d'aise sous ses doigts de fées.

" Tu es et seras toujours aussi doué de tes mains à ce que je sens... "

L'instant d'après, il avait sûrement pu suivre son mouvement délicieux. Elle s'était dérobée de ses doigts pour venir le chevaucher sur ce siège qui pouvait les accueillir tout deux mais à l'étroit. Le plaquant contre le dossier de son siège, ses deux mains posées sur son torse. Lentement elle les fit remonter vers son cou puis vers sa mâchoire, elle se souleva alors légèrement pour se retrouver plus haute que lui. Le visage de Sei relevée, celui de sa belle cousine était redescendu vers le sien. Ses lèvres frôlaient les siennes alors qu'elle souriait malicieusement à celui qui aurait pu être un amant comme elle en rêvait mais auquel elle n'avait pas le droit de toucher.

" Et pour mon secret... "

Elle attrapa alors la main de son cousin, la plaquant contre sa cuisse forçant ses doigts à se serrez contre sa chair blanche et tendre contre laquelle il aurait sûrement pu prendre bien des plaisirs. Reprenant toujours au plus près de sa bouche alors qu'elle forçait le contact entre leurs corps.

" Je fais travailler mes cuisses comme il se doit... "

Elle sous-entendait bien entendu les parties de jambes en l'air qu'elle s'offrait plusieurs fois par semaine avec un ou plusieurs amants. Il fallait bien avouer que ce genre de sport savait tendre la peau et muscler si finement que couplé à ses gênes qui la rendait naturellement belle, elles ne pouvaient être que parfaites.

« Il est plus doux de donner que de recevoir »
[PV ▬ Matabei]

Sa cousine avait le don de changer la situation toujours à son avantage, usant des faiblesses des hommes à son avantage pour leur faire bien des choses. Aujourd’hui, elle était plutôt gentille, mais ne pouvait tout de même pas jouer totalement face à son cousin, ce qui était relativement bien dommage, vous l’avouerez. Le visage de la belle bien trop proche du sien, il serait en même temps les cuisses fermes de sa tendre cousine qui n’hésitait pas à dire qu’elle savait bien faire travailler ses cuisses. Quoi de plus charmant alors qu’il s’amuser à les prendre en pleine main…

▬ J’espère que tu n’ai pas comme les femmes qui font de cette discipline un travail et qui à la trentaine passée ne peuvent qu’offrir du plaisir que par leur bouche Beita-chaaan !

Oh le méchant provocateur ! Il faisait bel et bien référence à ses prostituées qui à force de se faire monter dessus se faisaient… éclater la fleur. Elle passait les détails à sa jeune cousine qui surement devait entretenir cet objet de travail avec le plus grand soin et soumettre ceux qui se croyaient assez forts pour prétendre à lui arracher un cris de plaisir en y allant avec force. Lui qui s’était souvent amusé avec elle, pouvait dire qu’elle était bien plus forte que bon nombre d’homme qu’il connaissait et qu’elle ne devait surement pas se laisser faire par le premier chat venu.

▬ Ooooh ! C’est qu’il se fait tard ! Rentrons veux tu ?

Souriant, malicieux et surement malsain sur les bords, il fit descendre la jeune femme de la chaise avant de se redresser et s’étirer le dos. Ils devaient aussi libérer la chambre qui serait surement plus utile à d’autres patients plutôt qu’à deux personne en forme à présent. Posant sa main au bas du dos de la jeune femme, il l’invita à suivre le mouvement et une fois arrivé à la porte et avant de sortir pour prendre un bain de foule de malade et de blessés, il s’offrit le loisir d’offrir une petite fessée de son cru à la jeune femme avant d’ouvrir la porte.

▬ Mais qu’elles sont fermes Beita-chaaaan ! M’enfin, tu dois te reposer ce soir, tu as entendu la gentille et mignonne infirmière, il faut prendre du repos. Rentre chez toi, prend un bain, met toi à l’aise et je te ramène un petit morceau à manger ! Ne suis-je pas un cousin attentionné heiiin Beita-chaaaan ?

Alors qu'il la repoussait tout en douceur, Beita inséra son pied dans sa chaussure avant de ne se laisser docilement guider jusqu'à la porte. Tournant la tête vers lui, sa main vint refermer la porte d'un seul coup. Entrelaçant ses doigts avec les siens d'une main, la belle Hōjō se mit sur la pointe des pieds, attrapant la mâchoire du son cousin ses lèvres vinrent se déposer avec une infinie délicatesse sur sa joue tandis qu'elle coupait court à presque tout toucher avec lui. Seule sa main droite s'attarda sur sa joue tandis que l'autre commençait à ouvrir la porte.

" Très attentionné, oui. Mais j'ai prévu quelque chose pour ce soir. Quelque chose que t'es bon soin ne saurait m'apporter même si tu y mettais toute la bonne volonté du monde, Sei-kun. Un... "

Orgasme. Ses lèvres tournées vers son visage, il put y lire le dernier mot de sa phrase qu'elle ne prononça pas et qu'elle le laissa deviner en regardant sa bouche.
Le repos était certes de mise, mais qui écoutait les infirmières pour si peu quand on semblait aller tellement mieux ? La porte fut finalement complètement ouverte lorsqu'elle fila tranquillement dans le couloir. Même dans une tenue comme celle qu'elle avait, partiellement déchirée qui laissait entrevoir ses jambes délicieuses, elle apparaissait d'une grande beauté. Et tandis qu'une infirmière la dépassait en allant vers Sei qu'elle laissait seul, les mains de la belle blonde vinrent se croiser sur ses fesses et d'un habile coup de main, la robe de l'infirmière se vit coupée purement et simplement.
Un simple regard en arrière et elle disparaissait des couloirs, de l'hôpital... Il n'y avait pas à dire, elle savait comment lui faire plaisir.

« Il est plus doux de donner que de recevoir »
[PV ▬ Matabei]

Quelle en profite ! De sa jeunesse ! Remettant son chapeau de paille sur sa tête, il regardait sa cousine partir tout en lui laissant un petit cadeau de départ. Les fesses de la tendre et si agréable infirmière étaient à présent largement visibles après que Matabei ait usé de l’une des techniques de leur clan. C’était tout à fait fascinant et il appréciait le geste à sa juste valeur, s’approchant rapidement de la belle qui semblait prise de panique au vu de sa tenue nouvellement rafraichis. D’un pas rapide, il se retrouver derrière elle, ayant attrapé des draps blancs ou préalable, il ne tarda pas à la recouvrir pour cacher tant de chair nue.

▬ Ooooh ! Ce n’est pas très sérieux de vous balader ainsi habillée mademoiselle !

Souriant, il lança un regard amusé à la jeune femme avant de quitter les lieux. Lui-même avait des choses à faire avant de rentrer chez lui et il pourrait potentiellement revenir la voir dans les jours à venir pour entamer une discussion dès plus sérieuses avec elle histoire de pouvoir en apprendre un peu plus sur l’infirmière. Depuis quelques temps, il s’intéressait sur une histoire qu’il avait entendu quelques années plus tôt et qui depuis plus d’une semaine le hantait. Il était temps pour lui de passer à une nouvelle étape, à une étape bien supérieur afin de devenir un Shinobi dès plus complet.

▬ Taibou…

C’était le nom l’histoire qu’il avait jadis entendu, une puissance démesurée pour des hommes et des femmes qui, d’après les dires avaient une volonté au-delà de la normal et qui avait réussit grâce à un entrainement dès plus poussés à atteindre un autre stade de contrôle du chakra pour devenir des combattants d’exceptions. Soupirant, il allait donc se rendre à la bibliothèque et aux archives du village, surement aurait il quelques informations ou quelques brides à pouvoir utiliser pour cet entrainement qui serait surement bien plus dure que tous les autres… partant de rien pour un résultat incertain.