- MetsubouAkatsuki - Pion de Réserve
- Messages : 101
Âge : 27 ans
Taille/Poids : 192cm / 79kg
国 : Ame no Kuni
村 : Ame gakure no Sato
一族 : Fujasawa
● Disponibilité du joueur ● : Disponible pour un RP de fesses ! Je suis un cochon !
Fiche Ninja
Evolution de l'XP:
(0/45)
PV:
(350/350)
PC:
(655/655)
[Mission de Rang D] Surveiller les Rebelles
Sam 9 Oct - 1:03
Gensei Ravage* Fujasawa
Metsubou*
Fucking in the bushes.
Metsubou*
Fucking in the bushes.
Mission de Rang D
Surveiller les Rebelles
Descriptif : Des individus ont été suspectés de rebellion.
En somme, ils complotent contre le pouvoir de Pain. Un ninja doit se rendre sur place et récolter des renseignements pour confirmer l'éventuelle menace.
Surveiller les Rebelles
Descriptif : Des individus ont été suspectés de rebellion.
En somme, ils complotent contre le pouvoir de Pain. Un ninja doit se rendre sur place et récolter des renseignements pour confirmer l'éventuelle menace.
_______________________________________________________________________
Ca flambe ! Ca brûle !
Un groupe de rebelle à été assez fou pour mener un village entier à se révolter contre Pain, jugé trop centré sur les villes et contrées de la partie Nord est d'Amegakure, là où se situe son QG. Forcément, cela ne plait pas au dieu qui décide d'envoyer un de ses larbins, moi-même, mettre un peu d'ordre dans une fourmilière remplie de gens ennuyeux qui passent leur temps à se plaindre. "A côté, c'est mieux". "L'herbe est plus verte chez mon voisin". Pourquoi ne se sont t'ils pas préoccupés de leur propre sort ?
Rapidement, ils avaient mis leurs vies entre mes mains, et ce n'était pas ça qui allait m'empêcher de foutre mon bordel habituel. De toute façon, ma jeunesse à Kirigakure m'avait habitué à ce genre de situation très tendue ou tout le monde est aigri, assez pour faire éclater la colère et la rage pour des raisons futiles, des inepties sans fond.
"J'dois pas être loin..."
J'aurais pu prendre mon pied, si j'étais un mec comme Zabuza, assez fou pour me foutre dans des mouises meurtrières et kiffer au passage. On ne devient pas ninja pour le plaisir. On ne prend pas plaisir à tuer quelqu'un, à ôter la vie, ou à torturer. On le fait par devoir, par nécessité, par obligation, ou comme moi, pour l'argent. Il y à toujours une question de vie ou de mort cruciale, jamais de plaisir libidinal ou pulsionnel, à part chez quelques cas désespérés. Je n'avais encore jamais tué, mais personne ne le savais et ne devait le savoir. J'étais un habitué de l'Asphyxie qui fait tourner de l'œil, mais qui laisse le cœur battre et l'avenir tracé. J'ai jamais aimé jouer les moires, couper les fils du destin.
C'était le soir. Le village était pourtant bien animé. De nombreuses lumières, venant de torches rebelles, éclairaient les masures : un bon bordel. Je prend l'initiative et ouvre une première porte pour n'y trouver personne. Ils étaient visiblement tous réunis dans une seule salle, fomentant leurs plans, et préparant quelque chose qui ne saurait que gêner légèrement les plans de mon futur employeur, sans pour autant les bouleverser vraiment.
Ma mission est simple, mais pourtant, je croise la route de deux types qui semblent garder une nouvelle masure, qui était à coup sûr celle des rebelles que je cherchais à joindre. Le premier se penche vers moi avec une mine pleine d'arrogance.
"Tu peux pas entrer, désolé."
Visiblement, ma carrure l'éffrai. Quand je parle de carrure, je ne parle que de ma taille et de ma gueule de psychopathe fumeur de cigare notoire. J'approche ma tête de la sienne, lui souffle une bouffée et le prend par le col.
"J'crois pas que t'aies b'soin d'mettre ta vie en jeu comme ça... T'vas juste t'écarter, c'est clair ?"
Mon regard grave et mon air déterminé parviennent à lui faire entendre raison. Il retombe sur les fesses, tandis que je me tiens debout, dans toute ma splendeur, en laissant l'air s'enfumer légèrement. Mon regard est droit, franc, mon pied se lève, et explose la porte.
Elle s'ouvre, ou plutôt s'écrase sur un groupe de dix personnes, tous devant un tas de papelards présentant un plan de la Cité d'Amegakure. Ils gueulaient tous, vociférant, se disputant la meilleur manière de tout casser. C'était donc ça, un plan banal d'attaque désorganisée de grévistes. Ils étaient dans leur droit, en tant qu'humains libres de penser. J'avais de l'intérêt pour ce genre d'individus, pas forcément tournés vers la guerre mais vers les fondements de l'humanité. Mais penser à ces explosifs qu'ils gardaient au fond de la salle... Ça me faisait froid dans l'dos.
"Yare yare... On peut la jouer soft, vous m'donnez vos papelards et j'fais semblant que vous avez réussi à fuir avec un gaz soporifique, un truc du genre. On est d'accord ?"
Là, je parle avec un air décontracté. Mais au fond de moi, mon cœur bat comme une zik de jeune ado survolté. Comme par hasard, ces bouseux me posent des questions, s'exclament, s'agitent, s'interrogent. Il sortent des lames, des faucilles, et semblent se préparer à me bouter hors d'ici. Finalement, j'étais baisé. J'allais devoir les cogner, et l'intimidation ne suffirait pas contre un groupe aussi massif et déterminé. D'une voix faible, destinée uniquement à mon bon plaisir, je laisse émerger quelques mots :
"Ah... J'aurais quand même essayé."
J'esquive un premier coup, peu habile, emmène le bras loin de moi s'encastrer sur le mur. Leurs mouvements sont lents, incontrôlés. Ils sont fragiles comme des brindilles, qui tenteraient de concert de faire tomber un roc. J'utilise mon chakra, pour le plaisir et pour m'entrainer à moins le gâcher. Concentré, il créé des masses de cendres autour de moi et me permet de frapper beaucoup plus fort sans provoquer de dégâts létaux. Ils pourront s'en tirer avec des brûlures, quelques bleus, et de mauvais souvenirs. Je distribue les coups sans me retenir. Je me laisse aller dans un certain plaisir belliciste pour le sang, le combat, la domination. Je ne veux pas les tuer, mais je ne suis pas pacifiste ou un hippy cool et symapathique : je dois gagner, et amasser un max de fric pour réaliser mes objectifs. Dans ma furie, je fais exploser les container, mais tout le monde était dehors. Je laisse la masure cramer, les gens au dehors, les plans dans mes mains. J'ai leurs noms, les codes, et quelques adresses. La mission consistait simplement à obtenir des renseignements, "surveiller". J'avais apparemment démantelé un bout de réseau tout entier !
'Fin... J'me doutais que mes compétences étaient très réduites et que je laissais passer tout un tas d'indices et d'éléments importants. Pire, je n'avais arrêté personne et j'avais finalement laissé tout le monde se tirer. J'étais mauvais, mais j'avais fait le minimum vital et pourrait dormir sans me rappeler de visages ensanglantés et dévorés par la peur de la mort.
Ma mission réalisée, j'avais alors le plaisir d'imaginer avec joie la prochaine mission que le village d'Amegakure, dans sa risible pauvreté, saurait m'offrir. Quand je pense que dans les grands villages ninjas, ce genre de mission est payé au niveau d'une Rang B...
Je me fais vraiment rouler !
Un groupe de rebelle à été assez fou pour mener un village entier à se révolter contre Pain, jugé trop centré sur les villes et contrées de la partie Nord est d'Amegakure, là où se situe son QG. Forcément, cela ne plait pas au dieu qui décide d'envoyer un de ses larbins, moi-même, mettre un peu d'ordre dans une fourmilière remplie de gens ennuyeux qui passent leur temps à se plaindre. "A côté, c'est mieux". "L'herbe est plus verte chez mon voisin". Pourquoi ne se sont t'ils pas préoccupés de leur propre sort ?
Rapidement, ils avaient mis leurs vies entre mes mains, et ce n'était pas ça qui allait m'empêcher de foutre mon bordel habituel. De toute façon, ma jeunesse à Kirigakure m'avait habitué à ce genre de situation très tendue ou tout le monde est aigri, assez pour faire éclater la colère et la rage pour des raisons futiles, des inepties sans fond.
"J'dois pas être loin..."
J'aurais pu prendre mon pied, si j'étais un mec comme Zabuza, assez fou pour me foutre dans des mouises meurtrières et kiffer au passage. On ne devient pas ninja pour le plaisir. On ne prend pas plaisir à tuer quelqu'un, à ôter la vie, ou à torturer. On le fait par devoir, par nécessité, par obligation, ou comme moi, pour l'argent. Il y à toujours une question de vie ou de mort cruciale, jamais de plaisir libidinal ou pulsionnel, à part chez quelques cas désespérés. Je n'avais encore jamais tué, mais personne ne le savais et ne devait le savoir. J'étais un habitué de l'Asphyxie qui fait tourner de l'œil, mais qui laisse le cœur battre et l'avenir tracé. J'ai jamais aimé jouer les moires, couper les fils du destin.
C'était le soir. Le village était pourtant bien animé. De nombreuses lumières, venant de torches rebelles, éclairaient les masures : un bon bordel. Je prend l'initiative et ouvre une première porte pour n'y trouver personne. Ils étaient visiblement tous réunis dans une seule salle, fomentant leurs plans, et préparant quelque chose qui ne saurait que gêner légèrement les plans de mon futur employeur, sans pour autant les bouleverser vraiment.
Ma mission est simple, mais pourtant, je croise la route de deux types qui semblent garder une nouvelle masure, qui était à coup sûr celle des rebelles que je cherchais à joindre. Le premier se penche vers moi avec une mine pleine d'arrogance.
"Tu peux pas entrer, désolé."
Visiblement, ma carrure l'éffrai. Quand je parle de carrure, je ne parle que de ma taille et de ma gueule de psychopathe fumeur de cigare notoire. J'approche ma tête de la sienne, lui souffle une bouffée et le prend par le col.
"J'crois pas que t'aies b'soin d'mettre ta vie en jeu comme ça... T'vas juste t'écarter, c'est clair ?"
Mon regard grave et mon air déterminé parviennent à lui faire entendre raison. Il retombe sur les fesses, tandis que je me tiens debout, dans toute ma splendeur, en laissant l'air s'enfumer légèrement. Mon regard est droit, franc, mon pied se lève, et explose la porte.
Elle s'ouvre, ou plutôt s'écrase sur un groupe de dix personnes, tous devant un tas de papelards présentant un plan de la Cité d'Amegakure. Ils gueulaient tous, vociférant, se disputant la meilleur manière de tout casser. C'était donc ça, un plan banal d'attaque désorganisée de grévistes. Ils étaient dans leur droit, en tant qu'humains libres de penser. J'avais de l'intérêt pour ce genre d'individus, pas forcément tournés vers la guerre mais vers les fondements de l'humanité. Mais penser à ces explosifs qu'ils gardaient au fond de la salle... Ça me faisait froid dans l'dos.
"Yare yare... On peut la jouer soft, vous m'donnez vos papelards et j'fais semblant que vous avez réussi à fuir avec un gaz soporifique, un truc du genre. On est d'accord ?"
Là, je parle avec un air décontracté. Mais au fond de moi, mon cœur bat comme une zik de jeune ado survolté. Comme par hasard, ces bouseux me posent des questions, s'exclament, s'agitent, s'interrogent. Il sortent des lames, des faucilles, et semblent se préparer à me bouter hors d'ici. Finalement, j'étais baisé. J'allais devoir les cogner, et l'intimidation ne suffirait pas contre un groupe aussi massif et déterminé. D'une voix faible, destinée uniquement à mon bon plaisir, je laisse émerger quelques mots :
"Ah... J'aurais quand même essayé."
J'esquive un premier coup, peu habile, emmène le bras loin de moi s'encastrer sur le mur. Leurs mouvements sont lents, incontrôlés. Ils sont fragiles comme des brindilles, qui tenteraient de concert de faire tomber un roc. J'utilise mon chakra, pour le plaisir et pour m'entrainer à moins le gâcher. Concentré, il créé des masses de cendres autour de moi et me permet de frapper beaucoup plus fort sans provoquer de dégâts létaux. Ils pourront s'en tirer avec des brûlures, quelques bleus, et de mauvais souvenirs. Je distribue les coups sans me retenir. Je me laisse aller dans un certain plaisir belliciste pour le sang, le combat, la domination. Je ne veux pas les tuer, mais je ne suis pas pacifiste ou un hippy cool et symapathique : je dois gagner, et amasser un max de fric pour réaliser mes objectifs. Dans ma furie, je fais exploser les container, mais tout le monde était dehors. Je laisse la masure cramer, les gens au dehors, les plans dans mes mains. J'ai leurs noms, les codes, et quelques adresses. La mission consistait simplement à obtenir des renseignements, "surveiller". J'avais apparemment démantelé un bout de réseau tout entier !
'Fin... J'me doutais que mes compétences étaient très réduites et que je laissais passer tout un tas d'indices et d'éléments importants. Pire, je n'avais arrêté personne et j'avais finalement laissé tout le monde se tirer. J'étais mauvais, mais j'avais fait le minimum vital et pourrait dormir sans me rappeler de visages ensanglantés et dévorés par la peur de la mort.
Ma mission réalisée, j'avais alors le plaisir d'imaginer avec joie la prochaine mission que le village d'Amegakure, dans sa risible pauvreté, saurait m'offrir. Quand je pense que dans les grands villages ninjas, ce genre de mission est payé au niveau d'une Rang B...
Je me fais vraiment rouler !
- MJ
¤ Maitre du Jeu ¤ - Messages : 415
Re: [Mission de Rang D] Surveiller les Rebelles
Sam 9 Oct - 22:19
Note et validation du rp
Points gagnés: 2XP (Post) + 4XP (Bonus de Mission)
Ryôs reçus: 250 Ryôs
Commentaires: Une mission bien menée !
Points gagnés: 2XP (Post) + 4XP (Bonus de Mission)
Ryôs reçus: 250 Ryôs
Commentaires: Une mission bien menée !
- MetsubouAkatsuki - Pion de Réserve
- Messages : 101
Âge : 27 ans
Taille/Poids : 192cm / 79kg
国 : Ame no Kuni
村 : Ame gakure no Sato
一族 : Fujasawa
● Disponibilité du joueur ● : Disponible pour un RP de fesses ! Je suis un cochon !
Fiche Ninja
Evolution de l'XP:
(0/45)
PV:
(350/350)
PC:
(655/655)
Re: [Mission de Rang D] Surveiller les Rebelles
Mar 12 Oct - 13:22
Gensei Ravage* Fujasawa
Metsubou*
Prime : Nukenin de Rang B - 5.000 Ryôs
Moralité : 6/10
Fucking in the bushes.
Metsubou*
Prime : Nukenin de Rang B - 5.000 Ryôs
Moralité : 6/10
Fucking in the bushes.
Mission de Rang D
Surveiller les Rebelles
Descriptif : Des individus ont été suspectés de rébellion.
Cette fois, votre mission consiste à suivre les hommes qu'on a laissé fuir. Ils ont été suivit et nous savons où il seront demain. Un infiltré devra arriver a bout du filon, et le détruire.
Surveiller les Rebelles
Descriptif : Des individus ont été suspectés de rébellion.
Cette fois, votre mission consiste à suivre les hommes qu'on a laissé fuir. Ils ont été suivit et nous savons où il seront demain. Un infiltré devra arriver a bout du filon, et le détruire.
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C'était la seconde partie du plan : j'avais remonté un filon de rebelles, mais les papiers obtenus devaient apparemment être exploités pour creuser encore dans le terrier et débusquer tous les lapins. Je pensais que les dirigeants d'Ame allaient filer la mission à quelqu'un d'autre, de plus expérimentés et de plus à même de gérer la mission. Pourtant, c'était moi. A moi de faire le sale boulot jusqu'au bout.
Je prenais mon temps pour me lever ce matin. J'étais même en retard. Supposé rejoindre un point de rendez vous à midi, il était déjà dix heure et demi. Bien trop tard pour préparer ce genre d'assaut. C'était honteux, mais c'était moi. De toute façon, j'avais ce qu'il fallait pour improviser et résoudre les énigmes de cette mission en peu de temps.
Les gouttes de pluie s'engouffraient rapidement dans le sol et créait des amas boueux un peu partout. Heureusement que les sols étaient pavés, jonchées de pierre et de bitume, et permettaient de déambuler sans trop se soucier de l'eau. Très vite, j'étais arrivé au point de rendez vous déterminé.
"J'vais m'poser là."
J'allume mon cigare. Je laisse le temps passer tranquillement, caché là où il fallait pour voir tout sans être vu. J'avais l'air plutôt discret dans la masse des habitants d'Ame. Très vite, je vois le groupe d'hommes que j'avais arrêté quelque jours auparavant. Ils ne me voient pas. Je parviens alors facilement à suivre leur route des yeux. Ils s'engouffrent comme l'eau d'Ame, dans un bâtiment lugubre. Je patiente un instant, puis commence à entrer aussi. C'était un véritable dédale. Des ruines, aménagées pour mener dans un lieu secret que je peinais à déterminer. Heureusement, un rat rapide attira mon attention sur une ouverture. Une pierre qu'il fallait déplacer. Composant une série de signe, je déplace la roche grâce à mon affinité Doton et pénètre dans la grande salle qui m'était offerte.
Une dizaine d'hommes et de femmes étaient là, réunis. Ils commencent à débattre tranquillement. Je m'installe au fond de la salle, en silence. Je ne suis pas remarqué. Ils ne remarquent ni intentions meurtrières, ni intention de nuire.
"Citoyens d'Amegakure !
Nous avons vécu trop longtemps sous l'oppression de ce Kami-sama.
Vous êtes tous conscients que la fermeture du pays sur le monde nous empêche de nous développer.
A cause de l'autarcie forcée par Kami-sama, nous ne pouvons ni voyager en liberté.
A cause de l'autarcie forcée par ce Kami, on ne peut même plus dispenser le savoir, la culture, la connaissance."
Le discours était intéressant. Mais ce n'était pas dans mes cordes de m'occuper de politique. Ca avait d'ailleurs déjà causé bien trop de tort au épéistes de Kiri. De ma voix grave, je me lève et adresse la parole à l'assistance.
"Et pour le fric ? Est-ce qu'on en perd ?
Où est-ce que bosser pour lui est rentable ?"
Tout le monde se retourne sur moi, et m'adresse un regard incompréhensif, consterné. Les yeux du groupe que j'avais arrêté sont révulsés. Ils se dressent et tremblent, tombent de leurs chaises. Vu comment c'était facile de trouver le point de rendez-vous, ce n'était pas étonnant que je sois parvenu à arriver jusqu'ici. Rapidement, je me pose sur ma chaise et attend la réponse du type qui me fait face.
"A vrai dire... Oui, nous en perdons peut être, mais ce n'est pas le plus important. Il y à de plus en plus de sans abris, et les ninjas prennent de plus en plus de place dans la société. Ils ont tous les droits sur les citoyens. Tout le monde est endoctriné, personne ne peut émettre une opinion sur le kami sans recevoir une punition expéditive... Oui, nous perdons tout !
Mais... Nous ne vous avons jamais vu. Qui êtes vous ?"
Je me lève et commence à allumer mon cigare. Mon regard se rempli de braises, alors que ma main se rempli de braises incandescentes.
"Vous n'avez pas tort dans vos opinions... Mais j'ai pas le temps de faire des états d'Ames. Vous allez tous cramer ici... Si vous voulez fuir, je vous laisse dix secondes. DIX !"
Tout le monde se lève, crie, et cour aussi vite que possible vers l'ouverture, des maitres du Doton créent une ouverture, alors que d'autres hommes se jettent sur moi. Je me faufile entre les civils qui fuyaient, pousse ceux qui me gênent. Je les écarte sans peine pour forcer mes assaillants à me cibler aisément. Toutefois, cela ne suffisait plus. Je fais un saut magistral qui me colle sur un mur grâce au Kinobori. Ils savent évidemment le maitriser, mais ils réalisent que je suis bien trop rapide. Leurs techniques parviennent toutefois à me toucher, mais ils réalisent que je compte encore.
"NEUF, HUIT, SEPT, SIX"
Ils se réunissent, et font évacuer les derniers rebelles restant, alors que d'autres hommes essaient de m'éliminer. Un premier type essaie de me placer une droite, alors qu'un autre tente de m'immobiliser en courant sur le mur.
"CINQ, QUATRE, TROIS"
J'esquive, je contre, et sourit. Ils flippaient tous, sans se rendre compte de ce qu'il se passait. Je conservais la boule de cendre incandescente dans ma main, tout en évitant le mieux possible leurs attaques nombreuses. Plus l'temps passait, moins je me sentais apte à gérer ces assauts. J'étais déjà essoufflé. Faut pas déconner, on à pas tous une endurance d'enfer. A mon grand désarroi, un des type parvient à me saisir par derrière et désactive ma boule de cendre qui s'évanouit dans les airs comme le vulgaire appât qu'il était.
C'était une diversion.
"Hein... ATTENTION ! C'est une diversion !
- ZERO !"
Des explosions se font entendre. Mais elles ne venaient pas de l'intérieur. Non... Elles venaient de l'extérieur. J'avais placé des marqueurs sur les fuyards, qui les firent exploser. L'œil du ninja s'injecte de sang, nourri d'une colère sans borne. Pourtant, c'était trop tard. Dehors, on entendait des cris, des hurlements de terreur, alors que je disparaissais dans un écran de fumée.
J'avais commis un meurtre. Peut être deux ou trois, voir trente. La charge était moindre, mais avait au moins enlevé un bras à ma cible s'il était tombé par hasard sur une flaque ou quoi que ce soit qui aurait pu perturber mon chakra de Katon. Loin de la scène, je me tenais sur le haut d'un des immeubles de la capitale d'Ame. Mon regard était embuée de larmes, mêlées d'un plaisir libidinal.
J'avais commis mon premier attentat.
Je prenais mon temps pour me lever ce matin. J'étais même en retard. Supposé rejoindre un point de rendez vous à midi, il était déjà dix heure et demi. Bien trop tard pour préparer ce genre d'assaut. C'était honteux, mais c'était moi. De toute façon, j'avais ce qu'il fallait pour improviser et résoudre les énigmes de cette mission en peu de temps.
Les gouttes de pluie s'engouffraient rapidement dans le sol et créait des amas boueux un peu partout. Heureusement que les sols étaient pavés, jonchées de pierre et de bitume, et permettaient de déambuler sans trop se soucier de l'eau. Très vite, j'étais arrivé au point de rendez vous déterminé.
"J'vais m'poser là."
J'allume mon cigare. Je laisse le temps passer tranquillement, caché là où il fallait pour voir tout sans être vu. J'avais l'air plutôt discret dans la masse des habitants d'Ame. Très vite, je vois le groupe d'hommes que j'avais arrêté quelque jours auparavant. Ils ne me voient pas. Je parviens alors facilement à suivre leur route des yeux. Ils s'engouffrent comme l'eau d'Ame, dans un bâtiment lugubre. Je patiente un instant, puis commence à entrer aussi. C'était un véritable dédale. Des ruines, aménagées pour mener dans un lieu secret que je peinais à déterminer. Heureusement, un rat rapide attira mon attention sur une ouverture. Une pierre qu'il fallait déplacer. Composant une série de signe, je déplace la roche grâce à mon affinité Doton et pénètre dans la grande salle qui m'était offerte.
Une dizaine d'hommes et de femmes étaient là, réunis. Ils commencent à débattre tranquillement. Je m'installe au fond de la salle, en silence. Je ne suis pas remarqué. Ils ne remarquent ni intentions meurtrières, ni intention de nuire.
"Citoyens d'Amegakure !
Nous avons vécu trop longtemps sous l'oppression de ce Kami-sama.
Vous êtes tous conscients que la fermeture du pays sur le monde nous empêche de nous développer.
A cause de l'autarcie forcée par Kami-sama, nous ne pouvons ni voyager en liberté.
A cause de l'autarcie forcée par ce Kami, on ne peut même plus dispenser le savoir, la culture, la connaissance."
Le discours était intéressant. Mais ce n'était pas dans mes cordes de m'occuper de politique. Ca avait d'ailleurs déjà causé bien trop de tort au épéistes de Kiri. De ma voix grave, je me lève et adresse la parole à l'assistance.
"Et pour le fric ? Est-ce qu'on en perd ?
Où est-ce que bosser pour lui est rentable ?"
Tout le monde se retourne sur moi, et m'adresse un regard incompréhensif, consterné. Les yeux du groupe que j'avais arrêté sont révulsés. Ils se dressent et tremblent, tombent de leurs chaises. Vu comment c'était facile de trouver le point de rendez-vous, ce n'était pas étonnant que je sois parvenu à arriver jusqu'ici. Rapidement, je me pose sur ma chaise et attend la réponse du type qui me fait face.
"A vrai dire... Oui, nous en perdons peut être, mais ce n'est pas le plus important. Il y à de plus en plus de sans abris, et les ninjas prennent de plus en plus de place dans la société. Ils ont tous les droits sur les citoyens. Tout le monde est endoctriné, personne ne peut émettre une opinion sur le kami sans recevoir une punition expéditive... Oui, nous perdons tout !
Mais... Nous ne vous avons jamais vu. Qui êtes vous ?"
Je me lève et commence à allumer mon cigare. Mon regard se rempli de braises, alors que ma main se rempli de braises incandescentes.
"Vous n'avez pas tort dans vos opinions... Mais j'ai pas le temps de faire des états d'Ames. Vous allez tous cramer ici... Si vous voulez fuir, je vous laisse dix secondes. DIX !"
Tout le monde se lève, crie, et cour aussi vite que possible vers l'ouverture, des maitres du Doton créent une ouverture, alors que d'autres hommes se jettent sur moi. Je me faufile entre les civils qui fuyaient, pousse ceux qui me gênent. Je les écarte sans peine pour forcer mes assaillants à me cibler aisément. Toutefois, cela ne suffisait plus. Je fais un saut magistral qui me colle sur un mur grâce au Kinobori. Ils savent évidemment le maitriser, mais ils réalisent que je suis bien trop rapide. Leurs techniques parviennent toutefois à me toucher, mais ils réalisent que je compte encore.
"NEUF, HUIT, SEPT, SIX"
Ils se réunissent, et font évacuer les derniers rebelles restant, alors que d'autres hommes essaient de m'éliminer. Un premier type essaie de me placer une droite, alors qu'un autre tente de m'immobiliser en courant sur le mur.
"CINQ, QUATRE, TROIS"
J'esquive, je contre, et sourit. Ils flippaient tous, sans se rendre compte de ce qu'il se passait. Je conservais la boule de cendre incandescente dans ma main, tout en évitant le mieux possible leurs attaques nombreuses. Plus l'temps passait, moins je me sentais apte à gérer ces assauts. J'étais déjà essoufflé. Faut pas déconner, on à pas tous une endurance d'enfer. A mon grand désarroi, un des type parvient à me saisir par derrière et désactive ma boule de cendre qui s'évanouit dans les airs comme le vulgaire appât qu'il était.
C'était une diversion.
"Hein... ATTENTION ! C'est une diversion !
- ZERO !"
Des explosions se font entendre. Mais elles ne venaient pas de l'intérieur. Non... Elles venaient de l'extérieur. J'avais placé des marqueurs sur les fuyards, qui les firent exploser. L'œil du ninja s'injecte de sang, nourri d'une colère sans borne. Pourtant, c'était trop tard. Dehors, on entendait des cris, des hurlements de terreur, alors que je disparaissais dans un écran de fumée.
J'avais commis un meurtre. Peut être deux ou trois, voir trente. La charge était moindre, mais avait au moins enlevé un bras à ma cible s'il était tombé par hasard sur une flaque ou quoi que ce soit qui aurait pu perturber mon chakra de Katon. Loin de la scène, je me tenais sur le haut d'un des immeubles de la capitale d'Ame. Mon regard était embuée de larmes, mêlées d'un plaisir libidinal.
J'avais commis mon premier attentat.
- Domo-kun
Noteur - Messages : 462
● Disponibilité du joueur ● : Fais gaffe ! Je mords !
Re: [Mission de Rang D] Surveiller les Rebelles
Mar 12 Oct - 13:40
Note et validation du rp Points gagnés: 2pts d'xp et 3pts d'xp bonus Ryôs reçus: 250 Ryôs Commentaires: La prochaine fois il serait mieux de trouver une autre couleur pour le langage des autres personnages. You're vicious... |
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