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ChôjuroEpéiste
剣士- Messages : 82
Âge : 19 ans
国 : Dans les jupons de Mei
村 : Kiri
一族 : Épéistes Légendaires de la Brume
● Disponibilité du joueur ● : Je suis contre la violence, peace and Love.
Fiche Ninja
Evolution de l'XP:![[Mission - Rang C] Tabassage - Tarlouses à la Rôtissoire [Solo] Left_bar_bleue](https://2img.net/i/fa/i/left_bar_bleue.jpg)
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PV: (545/545)
PC: (610/610)
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[Mission - Rang C] Tabassage - Tarlouses à la Rôtissoire [Solo]
Lun 1 Fév - 5:57
Alors…Comment il s’était retrouvé là, déjà?
Ah oui, pour arrondir ses fins de mois. Bah oui, le fait d’être un épéiste au service direct de la Mizukage n’incluait pas le fait qu’elle couvre toutes ses dépenses quotidiennes, ce qui faisait qu’il finissait forcément par manquer de tunes à un moment ou un autre. Et étant donné que les missions de haut niveau se faisaient rares ces temps-ci, il allait falloir se rabattre…sur les missions de niveau quelque peu moins haut. Oui bon, il suffisait de trouver une mission qui promettait quelques trucs vaguement intéressants, histoire de ne pas avoir l’impression d’être payé pour avoir fait que de la connerie totalement barbante. Après tout, il faut bien avoir l’impression d’avoir réellement fait une mission, sans quoi on a l’impression d’escroquer l’argent qu’on reçoit, à la place. Or donc, c’est avec cette pensée que Chôjuro s’était pointé au bureau d’assignation des missions, demandant qu’on lui fournisse de quoi d’à peu près potable, en autant qu’il puisse y avoir un peu d’action. Faut bien s’imposer un minimum. Aussi n’eut-il pas longtemps à attendre avant que l’un des responsables ne revienne vers lui, une feuille de description en main. À voir son expression alors qu’il revenait, même lui s’étonnait qu’il y ait réellement des missions aussi connes à effectuer. À croire que les missions de haut rang étaient réellement toutes déjà en cours, ou bien qu’elles n’avaient pas encore été mises à jour. Toujours est-il qu’en prenant la feuille entre ses mains pour lire rapidement les détails de ce qui constituerait sa journée, Chôjuro fut prit d’un mauvais pressentiment. Et avec raison, à voir les conneries qui avaient été couchées sur cette feuille de papier, mais qui avait tout de même le culot d’aller se faire appeler une ‘’mission’’ par les responsables du village.
- Spoiler:
Mission de Rang C:
Nom:
Type: Tabassage
Lieu: Forêt Humide
Description:
Une secte qui sacrifie des poulets et des chiots (mignons) commence à de plus en plus taper sur les nerfs des villageois alentours. Ils se sont cotisés et demandent à un ninja de leur botter le train. Attention : ils sont nombreux, et sont armés ! (De Pioches, Serpes, Faux, Couteaux de Bouchers, Livres sacrés, etc).
Composition: Un Juunin Spé avec des moches dents.
Spéciale: Rien, ah si : Auto Mjitage !PS : Oro, je t’emmerde, mais t’est une bonne couleuvre quand même! XD
Curieusement, l’épéiste était resté immobile un moment sur place, fixant ce qui était écrit sur le papier dans sa main. Il venait de relire pour la sixième fois le contenu relativement court mais concis de ce qui était écrit là-dessus. Puis, il remonta lentement la tête, demandant d’un regard au responsable s’il s’agissait d’une farce. Ce à quoi l’homme se contenta de lui répondre d’une moue qui se voulait désolée. Des…tueurs de poulet et de chiots à botter? Merde, les villageois avaient réellement des tonnes de fric à perdre en conneries, c’était pas croyable! Poussant un soupir en tournant les talons, le jeune homme plia la feuille et la glissa sous le support de torse de son épée en quittant la pièce, laissant le responsable se dire qu’il avait pas eu de chance aujourd’hui. Enfin bon, une mission restait une mission, le gain serait toujours là. Tu parles ouais, c’était pas ce fonctionnaire à la con qui devait pourchasser des chasseurs de poulet pour que quelques villageois arrivent à mieux dormir les soirs de pleine lune. Enfin bon, c’était pour les villageois, alors il le ferait, pour le bien de son village… Mais même, merde, des paumés qui sacrifiaient des poulets! N’importe quoi.
C’est d’ailleurs ce que pensait encore le jeune épéiste en se déplaçant à travers les arbres, suivant discrètement l’homme qu’on lui avait désigné comme étant celui à prendre en filature pour trouver le campement de ces barjos. Le type en question avait effectivement le profil de l’emploi : interné à trois reprises pour des séjours de deux mois chacun, l’homme avait fait la joie des employés du département psychiatrique et des soins intensifs, en bon attardé mental confirmé. Deux tentatives ratées d’évasion, huit tentatives de suicide, presque un homicide en sautant à la gorge de son thérapeute avec les dents, le tableau s’étirait sur une jolie série de petites conneries. Sans compter que le type souffrait du syndrome de Dieu, à savoir qu’il se prenait pour une divinité au sens propre du terme. Et les dieux, qu’est-ce que ça fait? Ça se trouve des fidèles pour effectuer les diverses besognes du culte, et vouer une adoration sans bornes à leur dieu tout puissant. Un culte basé sur les sacrifices de poulets, ou de chiots quand ils arrivaient à en chopper un au lieu de se casser la figure en essayant. Tu parles d’un culte à la con. Et après on se demande d’où vient l’athéisme. Enfin bref. Continuant sa filature en silence, le jeune homme remarqua finalement que sa cible s’était immobilisée, et regardait autour d’elle. Est-ce qu’il l’avait détecté? La réponse se présenta sous la forme de deux types qui sortirent des bois, vêtus de plusieurs couches de vêtements qu’on reconnaissait comme des tenues de chasse. Le type suivi – Yokae, du nom qui figurait sur son dossier à l’hôpital – se retourna vers les nouveaux arrivants, un large sourire prenant naissance sur son visage. Des connaissances? Visiblement oui, vu que les deux inconnus mirent genou à terre dès qu’ils arrivèrent à deux mètres de Yokae. L’un d’eux prit la parole sur le champ, baissant la tête en imprégnant ses paroles d’un respect manifeste et incontestable. C’était fou, ces deux cons respectaient l’autre cruche.
C’est d’ailleurs ce que pensait encore le jeune épéiste en se déplaçant à travers les arbres, suivant discrètement l’homme qu’on lui avait désigné comme étant celui à prendre en filature pour trouver le campement de ces barjos. Le type en question avait effectivement le profil de l’emploi : interné à trois reprises pour des séjours de deux mois chacun, l’homme avait fait la joie des employés du département psychiatrique et des soins intensifs, en bon attardé mental confirmé. Deux tentatives ratées d’évasion, huit tentatives de suicide, presque un homicide en sautant à la gorge de son thérapeute avec les dents, le tableau s’étirait sur une jolie série de petites conneries. Sans compter que le type souffrait du syndrome de Dieu, à savoir qu’il se prenait pour une divinité au sens propre du terme. Et les dieux, qu’est-ce que ça fait? Ça se trouve des fidèles pour effectuer les diverses besognes du culte, et vouer une adoration sans bornes à leur dieu tout puissant. Un culte basé sur les sacrifices de poulets, ou de chiots quand ils arrivaient à en chopper un au lieu de se casser la figure en essayant. Tu parles d’un culte à la con. Et après on se demande d’où vient l’athéisme. Enfin bref. Continuant sa filature en silence, le jeune homme remarqua finalement que sa cible s’était immobilisée, et regardait autour d’elle. Est-ce qu’il l’avait détecté? La réponse se présenta sous la forme de deux types qui sortirent des bois, vêtus de plusieurs couches de vêtements qu’on reconnaissait comme des tenues de chasse. Le type suivi – Yokae, du nom qui figurait sur son dossier à l’hôpital – se retourna vers les nouveaux arrivants, un large sourire prenant naissance sur son visage. Des connaissances? Visiblement oui, vu que les deux inconnus mirent genou à terre dès qu’ils arrivèrent à deux mètres de Yokae. L’un d’eux prit la parole sur le champ, baissant la tête en imprégnant ses paroles d’un respect manifeste et incontestable. C’était fou, ces deux cons respectaient l’autre cruche.
''Nous sommes venus conformément à vos ordre, Yokae-sama.''
''Avez-vous été vérifié que vous n’étiez pas suivis?''
''Oui, Yokae-sama. Nous avons utilisé la méthode habituelle, et nous sommes certains de n’avoir été poursuivis par personne.''
''Bien. Nous ne pouvons prendre le risque d’être découverts par les ennemis de la Foi. Notre croyance ne peut en aucun cas se permettre de tomber face aux hérétiques.''
Hum. Et dire que cet attardé total jouissait d’une autorité sur d’autres êtres humains pensants. Au royaume des tarlouses, les cinglés sont rois, comme on dit. Ou un truc du genre, peu importe. Toujours est-il que notre jeune épéiste allait apparemment s’octroyer le droit de démarrer la chasse aux sorcières. Chasse qu’il commença en tombant tout bonnement de son arbre, un pied sur la tête de chacun des deux hommes agenouillés, transformant leur posture en un écrasement au sol qui aurait évoqué la vénération, peut-être bien. Enfin, si on enlevait le ninja qui se tenait debout sur leurs gueules, en plus du fait qu’ils aient chacun la tête à moitié enfoncée dans la terre. Les bras croisés, un air ennuyé et relativement…sceptique sur le visage, Chôjuro fixait le type devant lui, qui tremblait de façon totalement incontrôlable, les yeux exorbités en fixant ce qui venait de se passer sous ses yeux. Ouais, un vrai malade en puissance. Alors autant en finir rapidement. Libérant les deux têtes enfoncées dans le sol de son poids en avançant lentement, le jeune homme se dirigea vers Yokae, qui semblait visiblement devenu inapte à tenir sur ses jambes, vu la chute sur le cul qu’il venait de s’infliger lui-même. Affichant un air qui se voulait féroce malgré sa terreur plus que visible, le taré vociféra quelques trucs bien inutiles alors que le ninja s’approchait de lui.
''Vous ne pourrez pas nous faire taire, quoi que vous fassiez! La Foi survivra toujours, peu importe le nombre de fois qu’on la met au sol! Pour toujours et à jamais!''
''Oui, oui, maintenant la ferme.''
De loin, on aurait pu entendre plusieurs cris rageurs retentir encore quelques instants, pour finalement être remplacés par une série de coups relativement…douloureux, juste à les entendre de loin. Curieusement, la voix de Yokae ne s’éleva plus à la suite de ce tintamarre de baffes. À croire que n’importe qui pouvait se la faire fermer avec les bons moyens. Les gens ont simplement chacun leur moyen de persuasion.
- Chôjuro
Epéiste
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Cette forêt n’avait jamais été un réel plaisir à explorer, autant par les odeurs repoussantes qu’on trouvait parfois, que par les trucs dégoûtants qui y vivaient. Et parmi ces trucs dégoûtants, figuraient justement une loque à moitié démolie que Chôjuro portait sur son épaule en marchant. Ballotant au rythme des pas de son moyen de transport peu confortable, Yokae semblait plus sonné que réellement conscient, laissant échapper quelques râles de douleur à l’occasion lorsque son porteur donnait un coup d’épaule pour le replacer de façon plus confortable. Confortable pour le porteur, cela va de soi. En gros, ce type qui se prenait pour le dieu des sacrifices de volaille – sacré titre, woah – n’avait pas été très long à passer aux aveux et révélations, en fait. Une fois quelques minutes passées à recevoir des coups bien placés, cela va de soi. Après tout, la mission consistait à foutre une raclée à ces imbéciles, alors il n’y avait aucune raison de se retenir. Et puis le type n’avait plus rien à perdre, étant donné que le peu de choses positives et charismatiques dont il disposait se disposaient dans son visage. Oui, il avait une gueule pas trop moche, assez utile pour charmer les crédules et les simples d’esprit. Je suis beau, aimez moi et suivez moi. Mais maintenant, et c’était le cas de le dire, Yokae avait une sale gueule. Plusieurs boursouflures, un œil au beurre noir, quatre dents pétées et une grosse contusion au côté droit du front. En gros, c’était maintenant le candidat parfait pour jouer un gros monstre dans une pièce de théâtre, la laideur était déjà offerte en prime. Manquait que le talent. Et pour ça, le seul talent qu’il semblait posséder, c’était celui d’être une grande gueule. Utile pour rameuter des fidèles dans ses conneries et ses illusions de grandeur, et tout aussi utile pour le fait de dévoiler les informations utiles une fois qu’il a reçu un bon tabassage dans le fond des dents. On a beau dire, la violence a beau être primale et barbare, elle a un don pour régler certains dilemmes bien corsés.
Achevant de franchir quelques pas, l’épéiste ralentit doucement le rythme, pour finalement s’arrêter, jetant un regard aux alentours l’espace d’un moment. Le moment était venu de demander de nouvelles indications. D’un coup d’épaule sec qui arracha à son fardeau un râlement de plus, le ninja de Kiri remit Yokae sur pied, le maintenant debout dans un équilibre précaire. Pour plus de sureté, le cinglé avait été ligoté solidement, si bien que si on l’avait laissé sans aucun support, on aurait pu compter les secondes avec les doigts d’une main pour calculer le temps qu’il aurait mis à se défoncer la figure sur le sol. Laissant atterrir quelques petites claques inoffensives sur la joue du capturé pour le faire reprendre ses esprits, le jeune homme désigna les environs autour d’eux.
Achevant de franchir quelques pas, l’épéiste ralentit doucement le rythme, pour finalement s’arrêter, jetant un regard aux alentours l’espace d’un moment. Le moment était venu de demander de nouvelles indications. D’un coup d’épaule sec qui arracha à son fardeau un râlement de plus, le ninja de Kiri remit Yokae sur pied, le maintenant debout dans un équilibre précaire. Pour plus de sureté, le cinglé avait été ligoté solidement, si bien que si on l’avait laissé sans aucun support, on aurait pu compter les secondes avec les doigts d’une main pour calculer le temps qu’il aurait mis à se défoncer la figure sur le sol. Laissant atterrir quelques petites claques inoffensives sur la joue du capturé pour le faire reprendre ses esprits, le jeune homme désigna les environs autour d’eux.
’’Alors, dans quelle direction se trouve le camp?
’’Va te f…..heu…c’est par-là…Au nord-est.
Bizarrement, le gus avait semblé vouloir prononcer une expression quelque peu offensante, mais s’était ravisé juste à temps en croisant le regard de celui qui avait été son tortionnaire un peu plus tôt. Il n’y avait aucun doute, ce môme disposait d’une force dont on ne pourrait pas le soupçonner au premier regard. Certes, il disposait de cette épée colossale dans son dos, mais qu’est-ce qu’il y avait, comme preuve qu’il savait la manier? C’était peut-être une fausse, histoire d’impressionner les plus crédules. Or, au vu des traces laissées à son visage par les soins du môme en question, Yokae préférait de loin ne pas trop s’attarder sur le sujet. C’est mauvais pour la santé, ce genre de trucs.
Visiblement satisfait de cette réponse courte quoique précise, Chôjuro remit son prisonnier sur son épaule, arrachant à ce dernier une plainte de douleur qui se prolongea sur plusieurs secondes. En fait, plusieurs signes démontraient qu’il y avait des signes de vie civilisée au nord-est de leur position, même si ce crétin à grande gueule n’avait rien dit. Cet intermède avait davantage été pour voir si ce débile aurait eu le front de tenter de lui mentir à ce stade. Sur le chemin, plusieurs détails confirmèrent les soupçons de l’épéiste, attentif à tout indice sur la route. À plusieurs endroits, la terre était tapée par de nombreuses traces de pas. Dans certains coins, on retrouvait plusieurs pièges de base, malgré le fait qu’il ne s’agisse aucunement d’une zone de chasse. Sans compter que personne n’était supposé vivre dans ces bois. Comme c’était curieux. Aussi, à la lumière de ces petits détails, la surprise ne fut-elle pas réellement présente lorsque le ninja de la Brume arriva en vue d’un camp rudimentaire, entouré d’une palissade en bois qui laissait quelques filets de fumée s’élever être entrevus entre les arbres. C’était une toute petite clairière, et ils avaient tout simplement profité de l’endroit pour établir un campement. Sérieusement, une bande de croyants au sang de poulet établis dans un camp dans la forêt. Totalement débile. Jetant un œil sur le peu de structure que la palissade démontrait, Chôjuro remarqua rapidement une sentinelle postée au dessus de ce qui semblait être le portail d’entrée. Regardant autour de lui en se mettant en position accroupie, le corps de Yokae toujours sur l’épaule, il ramassa tout bonnement une pierre sur le sol, la faisant voler quelques fois au dessus de sa main pour finalement se retourner vers la sentinelle, qui faisait son boulot en scrutant les environs, à moitié alerte. Il fut sans doute alerté lorsqu’une pierre l’atteignit en plein visage, lui arrachant un cri de douleur soudain alors qu’il tomba tout bonnement de son poste d’observation, chutant à l’intérieur de la palissade. Reprenant une marche tranquille vers le portail, Chôjuro écouta attentivement les sons agités qui venaient de prendre naissance derrière les bouts de bois qui délimitaient le campement. Vingt-six, vingt-sept…vingt-huit individus à l’intérieur. Peut-être plus, si certains n’avaient pas jugé bon de se lever pour venir voir ce qui causait tout ce boucan. Mais bon. Le shinobi de la Brume était maintenant arrivé devant la porte de bois refermée, le surplombant de ses trois bons mètres de hauteur, pour environ deux mètres de largeur. Un truc qui s’ouvrait uniquement de l’intérieur, visiblement. Bah, tant pis.
Tous ceux attroupés autour de la sentinelle à moitié assommée par sa chute se retournèrent d’un bloc en entendant un son semblable à une explosion, alors qu’ils virent ensuite – les yeux aussi grands que des boules de billard – la porte du campement effectuer un vol plané d’une trentaine de mètres pour aller s’écraser sur l’autre extrémité du camp, contre la palissade. Mouvement qui fut suivi d’un projectile sortant du nuage de poussière qui envahissait la zone du portail. Projectile qui se révéla être nul autre que Yokae, alors qu’il percuta violemment deux hommes en les écrasant au sol, lui-même sonné sur le coup. Émergea ensuite un jeune homme, de taille moyenne, arborant la plaque du village de Kiri qui fit froncer plusieurs paires de sourcils, et grincer plusieurs mâchoires. Affichant un air fortement ennuyé sur le visage, le jeune homme ne se donna la peine que de prononcer une phrase.
Visiblement satisfait de cette réponse courte quoique précise, Chôjuro remit son prisonnier sur son épaule, arrachant à ce dernier une plainte de douleur qui se prolongea sur plusieurs secondes. En fait, plusieurs signes démontraient qu’il y avait des signes de vie civilisée au nord-est de leur position, même si ce crétin à grande gueule n’avait rien dit. Cet intermède avait davantage été pour voir si ce débile aurait eu le front de tenter de lui mentir à ce stade. Sur le chemin, plusieurs détails confirmèrent les soupçons de l’épéiste, attentif à tout indice sur la route. À plusieurs endroits, la terre était tapée par de nombreuses traces de pas. Dans certains coins, on retrouvait plusieurs pièges de base, malgré le fait qu’il ne s’agisse aucunement d’une zone de chasse. Sans compter que personne n’était supposé vivre dans ces bois. Comme c’était curieux. Aussi, à la lumière de ces petits détails, la surprise ne fut-elle pas réellement présente lorsque le ninja de la Brume arriva en vue d’un camp rudimentaire, entouré d’une palissade en bois qui laissait quelques filets de fumée s’élever être entrevus entre les arbres. C’était une toute petite clairière, et ils avaient tout simplement profité de l’endroit pour établir un campement. Sérieusement, une bande de croyants au sang de poulet établis dans un camp dans la forêt. Totalement débile. Jetant un œil sur le peu de structure que la palissade démontrait, Chôjuro remarqua rapidement une sentinelle postée au dessus de ce qui semblait être le portail d’entrée. Regardant autour de lui en se mettant en position accroupie, le corps de Yokae toujours sur l’épaule, il ramassa tout bonnement une pierre sur le sol, la faisant voler quelques fois au dessus de sa main pour finalement se retourner vers la sentinelle, qui faisait son boulot en scrutant les environs, à moitié alerte. Il fut sans doute alerté lorsqu’une pierre l’atteignit en plein visage, lui arrachant un cri de douleur soudain alors qu’il tomba tout bonnement de son poste d’observation, chutant à l’intérieur de la palissade. Reprenant une marche tranquille vers le portail, Chôjuro écouta attentivement les sons agités qui venaient de prendre naissance derrière les bouts de bois qui délimitaient le campement. Vingt-six, vingt-sept…vingt-huit individus à l’intérieur. Peut-être plus, si certains n’avaient pas jugé bon de se lever pour venir voir ce qui causait tout ce boucan. Mais bon. Le shinobi de la Brume était maintenant arrivé devant la porte de bois refermée, le surplombant de ses trois bons mètres de hauteur, pour environ deux mètres de largeur. Un truc qui s’ouvrait uniquement de l’intérieur, visiblement. Bah, tant pis.
Tous ceux attroupés autour de la sentinelle à moitié assommée par sa chute se retournèrent d’un bloc en entendant un son semblable à une explosion, alors qu’ils virent ensuite – les yeux aussi grands que des boules de billard – la porte du campement effectuer un vol plané d’une trentaine de mètres pour aller s’écraser sur l’autre extrémité du camp, contre la palissade. Mouvement qui fut suivi d’un projectile sortant du nuage de poussière qui envahissait la zone du portail. Projectile qui se révéla être nul autre que Yokae, alors qu’il percuta violemment deux hommes en les écrasant au sol, lui-même sonné sur le coup. Émergea ensuite un jeune homme, de taille moyenne, arborant la plaque du village de Kiri qui fit froncer plusieurs paires de sourcils, et grincer plusieurs mâchoires. Affichant un air fortement ennuyé sur le visage, le jeune homme ne se donna la peine que de prononcer une phrase.
’’Vous savez, si vous pouviez juste tous vous rendre pour que je vous livre au village, ça me faciliterait bien les choses.
Pour toute réponse, Chôjuro vit vingt-huit individus foncer sur lui en hurlant, sortant tout ce qu’ils possédaient comme arme dans le but de le réduire en charpie. Laissant échapper un soupir de découragement, le garçon releva la tête en regardant tous ces hommes d’un air franchement déçu. Sérieusement, pourquoi les imbéciles veulent jamais abdiquer, au lieu de se faire mettre une branlée?
C’est être masochiste, d’être imbécile?
C’est être masochiste, d’être imbécile?
- Chôjuro
Epéiste
剣士 - Messages : 82
Âge : 19 ans
国 : Dans les jupons de Mei
村 : Kiri
一族 : Épéistes Légendaires de la Brume
● Disponibilité du joueur ● : Je suis contre la violence, peace and Love.
Fiche Ninja
Evolution de l'XP: (30/30)
PV: (545/545)
PC: (610/610)
Pires que des Genins fraichement sortis de l’Académie. Sérieusement, tous ces types ne savaient absolument pas comment se battre. Et encore, les comparer à des Genins, c’était insulter les Genins. Plutôt des aspirants. Pas vraiment de technique, ça fonce dans le tas en espérant toucher quelque chose, mais tout ce que ça touche, c’est la mornifle retentissante qu’ils se prennent dans la figure au dernier moment. Au moins, ils avaient le mérite d’être résistants et aptes à se relever après coup. Ça faisait au moins durer l’activité en soit, histoire de laisser le temps à l’épéiste de se réchauffer. Bien entendu, il n’avait pas dégainé son épée, c’aurait été bien trop risqué. Il n’était pas là pour tuer ces imbéciles, juste pour leur foutre une bonne raclée, histoire qu’ils puissent comprendre que le fait de suivre un attardé en puissance ne donnait jamais rien de bon, au décompte final. Tout ce que ça donnait, c’était bien des coups, un séjour à l’hôpital et un dossier criminel dans les registres du village, étant donné qu’ils ne pouvaient vraisemblablement venir que de Kiri, du moins pour la majorité. De toutes façons, la dite majorité portait des tenues vestimentaires classiques de Kiri. Quand on habite au village caché de la Brume, ça se remarque pour les experts. Mais bon, il n’avait pas l’intention de retenir plus que de raison ses coups, même s’il s’agissait de villageois de son propre village. Oui, il retenait ses coups de toutes façons, histoire de ne rien défoncer au sens propre du terme chez ses ‘’assaillants’’, mais c’était nécessaire, dans ce cas-ci. Sérieusement, s’il frappait l’un de ces types avec sa force habituelle, il allait sans doute voir une tête voler au loin. Ces gens n’étaient pas des ninjas, juste des villageois un peu timbrés qui s’étaient laissés embarquer dans une histoire tordue fonctionnant aux sacrifices de poulets. Y en a qui sacrifient des gros trucs, et y en a qui ont pas les moyens, faut croire. Bon, la suite.
Jusqu’à maintenant, il n’avait effectué que des manœuvres défensives de base, déviant les innombrables coups d’armes blanches qui pleuvaient sur lui, et rendant chaque coup d’une droite, une gauche, un coup de genou, un coup de coude, un coup de pied, peu importe. C’est à portée, ça attaque, on cogne. Pas besoin d’une meilleure logique face à une bande de tarlouses qui attaquaient un ninja certifié dès le premier contact. Oui bon, d’accord, il les avait peut-être un peu provoqués. Mais à peine!.
Décidant finalement de passer à la vitesse supérieure, Chôjuro effectua tout bonnement un bond à deux mètres dans les airs, pivotant sur lui-même pour asséner quelques coups de pieds sur les visages les plus près. La suite fut tout bonnement ridicule, étant donné que l’épéiste passa la minute qui suivit à sauter d’épaules en épaules, assénant parfois un coup de pied, parfois un coup de poing, parfois sautant au dernier moment pour faire frapper ses ennemis en eux. Une jolie scène comique, en somme, et tout en restant assez efficace pour en mettre quelques uns par terre. Bondissant une nouvelle fois, mais à une dizaine de mètres d’écart du groupe d’ennemis cette fois, le jeune homme donna tout simplement un coup de talon sur la base d’un bâton d’environ un mètre, qu’il empoigna d’une main. Appuyant le bâton sur son épaule avec lenteur, il fut doucement taper ce dernier sur l’épaule, immobile, attendant manifestement l’arrivée de ses adversaires sur lui. Et ils arrivèrent, malheureusement pour eux, d’ailleurs. La suite ne fut qu’une série douloureuse de coups de bâton, de trébuchements, de coups bas et hauts, de douleur (encore), et d’hommes qui se mirent à tomber de plus en plus rapidement. En fait, le bâton était tout simplement à considérer comme une épée. Et quand on pense que le gosse a l’habitude de manier aisément une épée puissante plus grande que lui, alors avec un bâton, imaginez le résultat, question vitesse de frappe! Autant dire que les types tombés, ils avaient sans doute à peine eu le temps de voir un courant d’air passer avant de se rendre compte qu’ils sombraient dans l’inconscience, au sol. Ces types manquaient de piquant, honnêtement. Et c’est alors que vint la réponse aux prières de Chôjuro, sous la forme d’une flèche qui alla se planter sur l’emplacement où se trouvait son pied un moment auparavant. Ah bah les voilà, ceux qui manquaient. Un, deux, trois…hum…huit archers disposés au sommet d’une tour de garde de quelques quatre ou cinq mètres au milieu du camp. Alors comme ça ils voulaient le transformer en brochette? Mais malheureusement pour eux, lui il n’était pas un poulet.
Un Shunshin judicieusement dosé le mena au pied de la tour de garde, laissant les archers perplexes quand à l’endroit où ils se devaient de viser pour tenter de le percer à coups de flèches. Il allait maintenant devoir monter rapidement. L’échelle? Non, trop évident. Autant grimper directement sur la tour elle-même. Et c’est ce qu’il fit, arrivant au sommet dans le temps que mirent les hommes au sol pour hurler aux archers que l’ennemi se trouvait juste en dessous d’eux. Malheureusement, ce fut trop tard. Et l’on put voir cinq des archers être tout bonnement projetés hors de la tour pour atterrir lourdement au sol, alors que les trois autres s’en sortirent à bon compte avec une simple raclée dans les règles de l’art. Alors, maintenant, allait-il prendre un arc pour canarder ses adversaires?...Et pis quoi encore, un épéiste qui se met à tirer à l’arc? S’il avait le temps de penser à de telles conneries, c’était un signe qui lui signalait qu’il devrait se contenter d’en finir. Et c’est ce qu’il fit, terminant finalement le combat six minutes plus tard, la majorité des tentes effondrées, la tour de garde défoncée, ainsi que trente six hommes au sol, ou tout bonnement inconscients. Le compte y était. Levant les yeux vers le ciel, l’épéiste porta sa main droite à ses lèvres et émit un sifflement strident, qui fut aussitôt répondu par un cri aigu. Au bout de quelques instants, la forme d’un jeune faucon se dessina au dessus des arbres, qui descendit prestement vers celui qui l’avait appelé. Après tout, il n’avait pas l’intention de se trimballer trente-six mecs sur son dos jusqu’au village, il allait envoyer un message pour qu’une équipe vienne récupérer tout le monde. Renvoyant l’oiseau vers les cieux, le jeune garçon observa les alentours, pensif. Sérieusement, c’était du gâchis, tout ce beau monde pour vénérer le crétin de Yokae, ce…Heu…Yoake? Regardant aux alentours, Chôjuro remarqua d’un coup que ce dernier ne figurait pas parmi les hommes au sol. Il n’était d’ailleurs plus à l’emplacement où il avait été projeté lors de son arrivée.
…Mais où il était passé, ce con?
Jusqu’à maintenant, il n’avait effectué que des manœuvres défensives de base, déviant les innombrables coups d’armes blanches qui pleuvaient sur lui, et rendant chaque coup d’une droite, une gauche, un coup de genou, un coup de coude, un coup de pied, peu importe. C’est à portée, ça attaque, on cogne. Pas besoin d’une meilleure logique face à une bande de tarlouses qui attaquaient un ninja certifié dès le premier contact. Oui bon, d’accord, il les avait peut-être un peu provoqués. Mais à peine!.
Décidant finalement de passer à la vitesse supérieure, Chôjuro effectua tout bonnement un bond à deux mètres dans les airs, pivotant sur lui-même pour asséner quelques coups de pieds sur les visages les plus près. La suite fut tout bonnement ridicule, étant donné que l’épéiste passa la minute qui suivit à sauter d’épaules en épaules, assénant parfois un coup de pied, parfois un coup de poing, parfois sautant au dernier moment pour faire frapper ses ennemis en eux. Une jolie scène comique, en somme, et tout en restant assez efficace pour en mettre quelques uns par terre. Bondissant une nouvelle fois, mais à une dizaine de mètres d’écart du groupe d’ennemis cette fois, le jeune homme donna tout simplement un coup de talon sur la base d’un bâton d’environ un mètre, qu’il empoigna d’une main. Appuyant le bâton sur son épaule avec lenteur, il fut doucement taper ce dernier sur l’épaule, immobile, attendant manifestement l’arrivée de ses adversaires sur lui. Et ils arrivèrent, malheureusement pour eux, d’ailleurs. La suite ne fut qu’une série douloureuse de coups de bâton, de trébuchements, de coups bas et hauts, de douleur (encore), et d’hommes qui se mirent à tomber de plus en plus rapidement. En fait, le bâton était tout simplement à considérer comme une épée. Et quand on pense que le gosse a l’habitude de manier aisément une épée puissante plus grande que lui, alors avec un bâton, imaginez le résultat, question vitesse de frappe! Autant dire que les types tombés, ils avaient sans doute à peine eu le temps de voir un courant d’air passer avant de se rendre compte qu’ils sombraient dans l’inconscience, au sol. Ces types manquaient de piquant, honnêtement. Et c’est alors que vint la réponse aux prières de Chôjuro, sous la forme d’une flèche qui alla se planter sur l’emplacement où se trouvait son pied un moment auparavant. Ah bah les voilà, ceux qui manquaient. Un, deux, trois…hum…huit archers disposés au sommet d’une tour de garde de quelques quatre ou cinq mètres au milieu du camp. Alors comme ça ils voulaient le transformer en brochette? Mais malheureusement pour eux, lui il n’était pas un poulet.
Un Shunshin judicieusement dosé le mena au pied de la tour de garde, laissant les archers perplexes quand à l’endroit où ils se devaient de viser pour tenter de le percer à coups de flèches. Il allait maintenant devoir monter rapidement. L’échelle? Non, trop évident. Autant grimper directement sur la tour elle-même. Et c’est ce qu’il fit, arrivant au sommet dans le temps que mirent les hommes au sol pour hurler aux archers que l’ennemi se trouvait juste en dessous d’eux. Malheureusement, ce fut trop tard. Et l’on put voir cinq des archers être tout bonnement projetés hors de la tour pour atterrir lourdement au sol, alors que les trois autres s’en sortirent à bon compte avec une simple raclée dans les règles de l’art. Alors, maintenant, allait-il prendre un arc pour canarder ses adversaires?...Et pis quoi encore, un épéiste qui se met à tirer à l’arc? S’il avait le temps de penser à de telles conneries, c’était un signe qui lui signalait qu’il devrait se contenter d’en finir. Et c’est ce qu’il fit, terminant finalement le combat six minutes plus tard, la majorité des tentes effondrées, la tour de garde défoncée, ainsi que trente six hommes au sol, ou tout bonnement inconscients. Le compte y était. Levant les yeux vers le ciel, l’épéiste porta sa main droite à ses lèvres et émit un sifflement strident, qui fut aussitôt répondu par un cri aigu. Au bout de quelques instants, la forme d’un jeune faucon se dessina au dessus des arbres, qui descendit prestement vers celui qui l’avait appelé. Après tout, il n’avait pas l’intention de se trimballer trente-six mecs sur son dos jusqu’au village, il allait envoyer un message pour qu’une équipe vienne récupérer tout le monde. Renvoyant l’oiseau vers les cieux, le jeune garçon observa les alentours, pensif. Sérieusement, c’était du gâchis, tout ce beau monde pour vénérer le crétin de Yokae, ce…Heu…Yoake? Regardant aux alentours, Chôjuro remarqua d’un coup que ce dernier ne figurait pas parmi les hommes au sol. Il n’était d’ailleurs plus à l’emplacement où il avait été projeté lors de son arrivée.
…Mais où il était passé, ce con?
- Chôjuro
Epéiste
剣士 - Messages : 82
Âge : 19 ans
国 : Dans les jupons de Mei
村 : Kiri
一族 : Épéistes Légendaires de la Brume
● Disponibilité du joueur ● : Je suis contre la violence, peace and Love.
Fiche Ninja
Evolution de l'XP: (30/30)
PV: (545/545)
PC: (610/610)
Déjà une dizaine de minutes qu’il le cherchait. Cet imbécile de Yokae avait profité du combat pour fuir en douce, une fois qu’il avait reprit connaissance. Le pauvre merdeux. Il savait sans doute ce qui l’attendait s’il restait dans le coin, aussi était-ce probablement naturel qu’il ait eu le réflexe de tout simplement foutre le camp. L’instinct de survie, en quelque sorte. Ou de l’imbécilité à l’état pur, au choix. Car il avait beau courir aussi rapidement qu’il le voulait, il ne pourrait pas échapper bien longtemps à un ninja certifié. Sérieusement, si ce débile arrivait à lui échapper, il irait remettre sa démission en tant qu’Épéiste de Kiri en revenant au village, tellement la honte serait incalculable. Et il ne pourrait plus être aux côtés de la Mizukage…..Double raison de ne pas laisser ce merdeux de fuyard courir encore longtemps. Il ne pouvait pas être parti bien loin non plus, quinze minutes plus tôt, il tenait à peine sur ses jambes (oui bon, il était ligoté mais c’est pas important) et il avait du mal à penser clairement. Il ne pouvait pas avoir retrouvé beaucoup d’énergie. Et effectivement, il n’était pas allé loin.
Il se trouvait sur le rebord d’un amoncellement rocheux, au bord d’une cascade, lorsque l’épéiste le retrouva. Se retournant vivement en entendant des bruits de pas derrière lui, Yokae écarquilla les yeux et déglutit un bon coup en voyant son pire cauchemar de la journée devant lui. Comme c’était curieux, il n’avait pas l’air heureux de le voir. Bah, tant pis pour lui. Commençant à faire quelques pas en direction du cinglé terrorisé, il s’arrêta lorsque celui-ci se mit à crier.
Il se trouvait sur le rebord d’un amoncellement rocheux, au bord d’une cascade, lorsque l’épéiste le retrouva. Se retournant vivement en entendant des bruits de pas derrière lui, Yokae écarquilla les yeux et déglutit un bon coup en voyant son pire cauchemar de la journée devant lui. Comme c’était curieux, il n’avait pas l’air heureux de le voir. Bah, tant pis pour lui. Commençant à faire quelques pas en direction du cinglé terrorisé, il s’arrêta lorsque celui-ci se mit à crier.
’’Ne fais pas un pas de plus, ou je saute!
’’…Sérieusement?
En fait, il se trouvait suffisamment près du rebord pour carrément perdre pied, même si jamais il n’avait aucune intention de mettre ses ‘’menaces’’ à exécution. Il était juste totalement terrifié, il faisait une sorte de crise d’angoisse, un truc du genre. Ou alors il avait juste du mal à accepter le fait que les suivants de son faux culte à deux ronds s’étaient tous fait dégommer par un seul type envoyé par le village d’à côté. Dans tous les cas, il flippait sérieusement, et ça pouvait poser problème, étant donné qu’il ne devait pas y avoir de morts durant la mission. C’était une expédition punitive, mais pas létale, et certainement pas mortelle. Des plans pour qu’il se choppe une amende sur sa récompense de mission, si le type principal de cette bande de dégénérés crevait aussi bêtement. Et ce fut en visionnant cette amende si chieuse que Chôjuro eut le réflexe bienheureux de joindre les mains en vitesse, au moment où Yokae…glissa effectivement sur le rebord et commença à tomber vers l’arrière. L’épéiste le vit disparaître dans un cri…le silence…aucun son d’entrée dans l’eau, quelques cent mètres plus bas. Et ce fut à ce moment que la copie du jeune ninja fit son apparition, terminant son ascension sur la paroi rocheuse, un cinglé tétanisé sous le bras. Le pauvre Yokae s’en était presque pissé dessus, à voir l’expression qui couvrait son visage. Bah, au moins il la fermerait, maintenant. Ou pas. Car il se mit effectivement à gesticuler, en proie à une sacrée crise, qui fut maîtrisée par un bon coup précis sur la nuque, l’assommant sur le coup. Non mais, y a des moments où il faut savoir se la fermer.
Quelques dix minutes plus tard, sur le chemin du retour, Chôjuro croisa l’escouade de deux équipes de Genins et leurs maîtres Juunins qui se dirigeaient vers le lieu du combat pour récupérer les vaincus. Après quelques brèves indications pour leur permettre de trouver sans encombres le lieu en question, l’épéiste reprit tout bonnement sa route vers le village, bondissant sans se presser d’un arbre à l’autre. Après tout, ce crétin sur son épaule ne se réveillerait pas avant un bon moment, alors pas besoin de s’en faire pour rien. Au bout d’une quinzaine de minutes supplémentaires, le ninja de la Brume arriva en vue du village, s’arrêtant au niveau des portes pour signaler dans les règles son retour de mission. Malgré l’offre qui lui fut faite de s’occuper d’emmener son captif, le garçon refusa, évoquant qu’il savait déjà où emmener ce dernier. Pas vraiment de problèmes avec l’idée. Aussi s’enfonça-t-il dans le village tout simplement, fort heureux du bon dénouement de cette expédition. Et l’heure du dîner n’était même pas encore arrivée. La classe quand même, il allait même avoir de quoi se payer un superbe repas. Plus tard, il apprendrait que les types qu’il avait dégommés furent condamnés à du travail communautaire, sous surveillance, histoire qu’ils ne soient pas tentés de faire des conneries. Comme quoi à faire les cons, on finit en cons.
Quand à Yokae, la rumeur se répandit rapidement qu’on le retrouva à moitié nu, attaché à une clôture, une corde reliée à un poulet attachée autour du cou. La majorité trouvèrent cette histoire quelque peu…étrange – cela va de soi -, mais personne ne s’en offusqua, étant donné que les actions stupides de ce dernier furent déclarées rapidement pour qu’il ne soit pas pris en pitié. Et ainsi, tout est bien qui finit bien…
Et l’estomac plein. C’est pas génial, ça? ~
Quelques dix minutes plus tard, sur le chemin du retour, Chôjuro croisa l’escouade de deux équipes de Genins et leurs maîtres Juunins qui se dirigeaient vers le lieu du combat pour récupérer les vaincus. Après quelques brèves indications pour leur permettre de trouver sans encombres le lieu en question, l’épéiste reprit tout bonnement sa route vers le village, bondissant sans se presser d’un arbre à l’autre. Après tout, ce crétin sur son épaule ne se réveillerait pas avant un bon moment, alors pas besoin de s’en faire pour rien. Au bout d’une quinzaine de minutes supplémentaires, le ninja de la Brume arriva en vue du village, s’arrêtant au niveau des portes pour signaler dans les règles son retour de mission. Malgré l’offre qui lui fut faite de s’occuper d’emmener son captif, le garçon refusa, évoquant qu’il savait déjà où emmener ce dernier. Pas vraiment de problèmes avec l’idée. Aussi s’enfonça-t-il dans le village tout simplement, fort heureux du bon dénouement de cette expédition. Et l’heure du dîner n’était même pas encore arrivée. La classe quand même, il allait même avoir de quoi se payer un superbe repas. Plus tard, il apprendrait que les types qu’il avait dégommés furent condamnés à du travail communautaire, sous surveillance, histoire qu’ils ne soient pas tentés de faire des conneries. Comme quoi à faire les cons, on finit en cons.
Quand à Yokae, la rumeur se répandit rapidement qu’on le retrouva à moitié nu, attaché à une clôture, une corde reliée à un poulet attachée autour du cou. La majorité trouvèrent cette histoire quelque peu…étrange – cela va de soi -, mais personne ne s’en offusqua, étant donné que les actions stupides de ce dernier furent déclarées rapidement pour qu’il ne soit pas pris en pitié. Et ainsi, tout est bien qui finit bien…
Et l’estomac plein. C’est pas génial, ça? ~
Mission Complétée
Terumi MeiGodMother
¤ Godaime Mizukage ¤
五代目・水影- Messages : 1037
Âge : 34 ans
Taille/Poids : 1m68/57kg/105D
国 : Mizu no kuni
村 : Kirigakure no satô
一族 : Terumi
● Disponibilité du joueur ● : 42
Fiche Ninja
Evolution de l'XP: (8/64)
PV: (400/400)
PC: (980/980)
Je me suis tapée des barres xD
Je te donne donc 8pts de rp, 1.000Ryôs et 10pts de rp supérieur dû à la mission.
Merci pour ses barres de rire et merci d'avoir sauvé des chiots kawai ( les poulets osef ) '-'
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