Baroque Works, PLEASURE !

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La serviette se trouvait à sa droite. Il commença à se frotter avec vigueur pour se sécher convenablement. Il aimait prendre soin de ses longs cheveux blonds, indirectement ses pouvoirs y étaient liés. Et la dangereuse combinaison du sable omniprésent et de la chaleur ambiante les fragilisait s'il n'y prêtait pas attention. Il commença par enfiler son pantalon avant de suivre avec sa ceinture de fourrure qu'il adorait, et auquel il avait ajouté un étui ninja contenant une ribambelle de senbons - une arme capricieuse, mais dont il pouvait se servir de manière experte pour plonger ses adversaires dans des sommeils artificiels, avec une petite diversion ou deux... De toute manière, il n'aimait pas la violence gratuite, et cette manière de faire lui convenait amplement. Il termina par sa veste blanche, qu'il laissa ouverte de manière négligée. Il n'aimait pas cacher son tatouage cruciforme. Et de toute façon, il ne craignait pas vraiment les basses températures ni les coups physiques. Il s'ajusta un petit fourreau pour son sabre. De faible qualité, cela restait une arme capable dont il dépendant plus qu'il ne l'aurait souhaité.

Se faisant, il se contempla un instant dans la glace brisée de sa planque. Mister 0 était de faction au restaurant qu'il avait récemment conquit, à se faire dorloter par les femmes de ménages. Lui-même restait dans ce taudis uniquement pour surveiller la ruelle, et faire sa part de recel pour entrer dans ses frais. Mais ce soir...

Ce soir était différent. Il désirait agrandir son territoire, et en profiter pour recruter quelqu'un de capable aussi, si jamais il en croiserait. Sa cible était une maison close à une dizaine de minutes à pied. Si l'endroit était un peu plus loin, c'était recherché. Il ne devait pas rester cloitré dans un quartier. Toute la capitale du pays du vent devait tomber sous son emprise, tout le pays du vent aussi. Suna resterait une collaboratrice, évidemment, pas question de s'ériger contre ce village. Et après, cela ne serait qu'une question de mois avant que son influence ne s'étendrait aux pays voisins. Il leur volerait les ressources qui manquait au pays du Vent pour se développer correctement. Il prendrait sa part de bénéfice, également. Et il trouverait bien en cherchant dans des bibliothèques des livres occultes sur son Don, son Art. Sa Science ...

Il ouvrit un tiroir, le visage encore et toujours impassible. Il était remplit de cartes de tarots, chaque fois dans des emballages de cartons. Il en empocha un de réserve - au cas où - avant d'en ouvrir un autre et de s'assoir sur une chaise et de commencer son tour. Il place les cartes dans les airs, et elles échappèrent par une raison obscure aux lois de la gravité. C'était comme si elles étaient déposée sur un plan incliné et invisible. Il réfléchit un moment, avant de déposer son doigt sur l'une des cartes qu'il déplaça de l'autre côté du motif. Il répéta l'opération plusieurs fois, avec différentes cartes. Ses yeux parcouraient inlassablement les cartes et il finit par murmurer pour lui même.

Chance de conquête pacifique : 37%, Risque de conquête violente : 63%, Risque de devoir blesser quelqu'un : 78%, Risque de devoir tuer quelqu'un : 16%, Risque d'être blessé : 48%, Risque de perdre Mister 0 : 28%. Chance de conquérir l'endroit : 100%. Chance de survie : 100%.

Il songea un instant à ces chiffres avant de reprendre ses cartes. Apparemment, il y avait plus de chances de grabuges que la dernière fois. Il vérifia l'attache de son fourreau et que son étui ninja était parfaitement accessible avant de lever la tête et de sortir avec toute sa dignité dans la rue. La main posée sur la garde de son arme, il marcha avec assurance jusqu'à l'endroit de ses désirs. La maison close "Au bonheur du Shinobi" avait une réputation de se faire pas mal d'argent. Il se demanda s'il disposait de quoi se "protéger". Il fit le tour de l'établissement avant tout, histoire de voir à quoi il aurait affaire...

Conquête by Enjin « la mâche »

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« Au Bonheur du Shinobi » était ouvert depuis quelques temps maintenant.. Il était vrai que cela faisait un bon petit moment que la dirigeante de cette maison close amassait une importante quantitée de fric. Elle dégageait énormément de bénéfice, car il n'y avait pas énormément de maison close comme celle-ci au sein de la capitale du pays du vent. Elle avait fait des aménagements afin de croître la popularité du bâtiment: elle avait agrandit la bâtisse, elle avait fait des achats au niveau de la sécurité, mais avant tout, de par l'expérience, elle avait acheter les services de deux vigiles. Deux anciens shinobis, des jumeaux qui avaient arrêtés la carrière shinobis à genin pour se consacrer uniquement à la boxe et à leur maîtrise du taijutsu. Ils n'essayaient pas plus de briller dans leurs carrières, car la seule chose qu'ils désiraient était d'être connu en temps que boxeur, ni plus, ni moins. Les deux jumeaux avaient un physique qui les avantageaient bien entendu, en temps que boxeur, c'était évident. Leurs nom : Boun & Been Saruwatari.

L'ainé, née de quelques minutes avant le second, se nomme Boun Saruwatari. Le plus fort des deux ! La seule différence physique était que l'ainé avait les cheveux courts de couleur blanche grise alors que Been lui avait les cheveux blond un peu plus long que son ainé. L'autre différence était que Boun se concentrait uniquement sur un combat aux poings alors que Been lui se concentrait sur le combat au pied. Quoi qu'il en était, ces deux vigilences vellaient au grain, attendant patiemment le moment où ils devraient agir. Pendant ce temps, la patronne gueulait sur le personnel.

Patronne : Ooooh ducon. Bouge ton gros cul et va t'occuper des clients.

Employé : Mais patronne, ils dont déjà tous...

Patronne : Obéiiiiiiiiiit. Dit-elle en lui lançant une bouteille de verre à la figure.

L'observation avait été payante. Cette fois-ci, un service d'ordre et de garde avait été mit en place. Cela ne se passerait pas de la même manière que pour le restaurant "Au grain de sable". Non, Basil se doutait d'une certaine manière qu'il devrait jouer les gros bras. Etait-ce des gueulandes qu'il entendait jusque dans la rue ? Sans aucun doute. Il sortit de son étui ninja quelques senbons avec lesquels il se mit à jouer entre ses doigts. Pour faire passer le stress sans doute.

Il n'y avait qu'une entrée principale à la maison close prospère. D'ailleurs, il semblait y avoir eut des travaux récemment. Un agrandissement ? Il lui fallait absolument partager ces bénéfices. Cela serait nécessaire pour un bon développement. Il continua d'observer la bâtisse de loin. Peut-être pouvait-il briser une fenêtre, mais outre importuner des innocents, il n'était pas certain que les deux cerbères torses nuls ne disposaient pas d'une formation ninja. A première vue, ils étaient adepte de gros muscles. Et ils ne s'en cachait pas. Ils se ressemblaient fortement. Des jumeaux ? C'était possible, surtout si on comparait les énormes sourcils commun. Basil se passa une main sur son front avant d'aller gratter sa nuque quelques instants, songeur.

L'un d'entre eux, au moins, allait l'accompagner s'il demandait une entrevue avec leur supérieur. En cas d'alarme, l'autre serait présent en peu de temps. Ils n'étaient certainement pas des plus expérimentés, quelque soit la prospérité de la maison close, elle ne pouvait certainement pas se payer ce que Basil qualifiait dans son échelle personnelle de deux niveau C. Peut-être s'agissait-il de deux niveaux D+ à la rigueur, s'ils avaient fait un rabais exceptionnel. Et encore... Enfin, il suffirait d'un rapide échange de bons procédés pour en savoir plus long sur eux. Le Shukun passa sa main sur son visage et se gratta un peu le nez.

Quels types de combattants cela pouvait bien être ? Avant de foncer dans une telle bataille, il se devait de réfléchir un peu. Ils portaient tout deux des gants de cuir, et ils ne semblaient pas armé. Ils auraient bien du mal à l'être. Il s'agissait donc de taijutsu du type taekwondo, karaté, box... Basil avait largement le choix. Lui avait son sabre mais pas autant de muscles, c'était plus qu'évident. Il se palpa les poignets pour activer la circulation sanguine dans ses mains. Une sorte d'échauffement avant l'embuscade. Son plan était préparé, il rangea ses senbons restants. Il s'approcha des deux vigiles, naturellement, et demanda d'une voix calme et posé.

Excusez moi, est-ce bien "Au bonheur du Shinobi" ici ? Je peux savoir où trouver votre chef ? C'est pour une proposition...

Il suffisait d'attendre un moment d'inattention, et il sauterait à leurs gorges. Ensuite, il se dirigerait vers la source de ces cris. Sans aucun doute la patronne en ces lieux, celle qu'il devrait convaincre de collaborer avec lui. Du moins... en théorie. Maintenant, tout se basait sur la première approximation que ces deux gardes n'étaient pas équivalents à des chunins ou plus dans le système de classement shinobi. Dans le cas contraire, le combat serait rude. Enfin, il aurait toujours l'initiative, et lui-même n'était pas un parfait quidam. Il avait suivit un entrainement pour faire de lui un combattant de rang A tout de même, même s'il lui manquait énormément de diversités et de techniques puissantes.

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Conquête by Enjin « la mâche »

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La bouteille de verre que venait d'éviter l'employé explosa au sol, attirant l'attention du blond qui se déplaça rapidement pour prévenir de tous danger. Les deux jumeaux détestaient les fausses alertes de ce genre. Mais ils devaient y être habitués depuis le temps où ils bossaient ici. En voyant la bouteille au sol avec un autre employé qui ramassait le saké qui se rependait sur le sol, il plaça une main sur son front et secoua la tête d'un signe d'abandon. Il ne s'était pas passé quelque chose d'intéressant ici depuis quelques mois, et on pouvait dire clairement, que c'était chiant.. Comment pouvait-ils faire grandir leurs réputations s'il ne se passait jamais rien dans cette maison close ? Bah non, il n'y avait pas de solution, ils ne pouvaient pas. Certes ils étaient payés et cet argent leur servait pour payer le dojo dans lequel ils s'entraînaient tous les deux, mais quand même. Ils se faisaient extrêmement chiés

Pendant ce temps, un homme aux cheveux blonds entra dans le bâtiment et après avoir regardé un peu partout fixa du regard notre cher Boun, l'expert en combat aux poings. Il demanda tout d'abord s'il se trouvait bien dans " Au bonheur des shinobis ". Sans prononcer un mot, il acquiesça d'un signe de la tête avant d'écarquiller les yeux à la nouvelle question de l'homme blond aux allures mystiques. Sa patronne ? Il voulait voir sa patronne pour une proposition ? Soit, il ne pouvait pas l'en empêcher, mais c'était bien la première fois que quelqu'un lui demandait quelque chose comme ça. Généralement, ceux qui entraient dans cette maison close étaient des ivrognes venus ici pour se déchirer la gueule avant de se faire éclater soit par Boun soit par Been en fin de soirée, trop alcoolisé pour rester dans cette maison close. Quoi qu'il en était, il lui fit un signe de la tête afin qu'il le suive et se dirigea vers le bureau de la patronne. Sur le chemin, ils passèrent tous les deux devant Been qui continuait à regarde l'employé ramasser le saké. Ce n'était pas la peine qu'ils se déplacent tous les deux parce qu'un homme souhaite rencontrer la patronne. Mais lorsque les jumeaux se croisèrent, Boun effectua un petit clin d'oeil en signe de prévision, il devait se tenir prêt à intervenir à tout moment. Boun fit entrer l'homme dans le bureau de la maîtresse de maison avant de refermer la porte derrière lui. Dans cette sombre pièce se trouvait donc la maîtresse de maison derrière son bureau, l'homme et Boun qui était devant la porte, en obstacle, comme tout bon vigile.

Patronne : C'est quoooooiii encore ? Hein ? Boun ? C'est qui ce mec ? Qu'est ce que tu me veux blondasse ?

HRP : Tu te trouves donc seul en compagnie de la patronne ( inoffensive ) et de Boun. Been est derrière la porte et interviendra assez rapidement si tu n'arrive pas à être silencieux. Quoi que, si tu veux lancer l'assaut, c'ets le moment, les jumeaux sont séparés.

Les deux gardes du corps l'emmenèrent voir la patronne. Encore mieux. Les affronter tous les deux dehors aurait risqué une éventuelle intervention de la police de la capitale. A l'intérieur, il était protégé. Et les deux frangins allaient être obligés de se séparer au moins un petit moment. Il profiterait de la diversion. Ses armes étaient prêtes à être dégainées, cachées dans des endroits insoupçonnables. Et c'était dans ces occasions là qu'elles dévoilaient l'intégralité de leur dangerosité. La patronne se trouvait dans une pièce sombre. En train de gueuler. Pas quelqu'un de fort charitable.

Je m'appelle Hawkins Basil, mais vous avez peut-être entendu parler de moi sous l'alias du "Magicien". Je m'intéresse à votre commerce.

Il la salue avant de parcourir la pièce du regard. Plutôt petite, il y avait une chaise devant le bureau non loin de là où il se trouvait actuellement. A deux pas qu'il enjamba aussitôt.

Vous permettez que je prenne une chaise ?

Basil se saisit de l'objet en bois, et faisant mine de perdre l'équilibre, il vire-volta et lança deux senbons cachés dans sa manche en direction du cou du garde. Quelle étrange idée de ne pas se protéger avec des simples vêtements, cela le rendait si vulnérable... Encore que, après réflexion, lui même ne portait qu'une simple chemise avec une grosse partie de sa poitrine visible... Mais ce n'était pas la même chose. Il coinca rapidement la chaise sous la poignée de la porte pour la bloquer, tout en bousculant le garde normalement dans un sommeil profond. Il dégaina sa lame et la pointa en direction de la patronne, même si elle ne se trouvait pas tout à fait proche de lui. Il lui faudrait au moins un bond pour la rejoindre. Sa voix se fit plus grave, plus intimidante. Son verbe devint ordre.

Un cri de votre part, et je n'hésite pas à vous tuer comme je viens de le faire avec votre garde. Votre demeure m'appartient désormais, et j'en prends une partie des bénéfices. Résister ne vous mènera qu'à votre mort et celle de vos gardes.

Hum, c'était partiellement du bluff. Il n'avait pas tué le garde, et à vrai dire, il ignorait si son frangin pourrait rejoindre directement à travers la porte la pièce. Le meuble était-il suffisant pour ralentir sa progression ? C'était à voir, mais son plan n'était probablement pas parfait. Il n'aurait que peu de temps avant que Been ne se douterait de quelque chose. Ce n'était pas très cavalier comme méthode mais la propriétaire... ne semblait pas exactement digne de réflexion poussée. Et de toute manière, Basil avait l'avantage...

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Conquête by Enjin « la mâche »

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Tout ce passa tellement vite. Tout d'abord, le blond qui avait semblé inoffensif du premier oeil avait attrapé une chaise qu'il avait bloqué derrière la porte afin que personne ne pénètre dans la salle, puis il avait lancé deux senbons dans le cou de Boun qui était tombé comme une masse, les yeux fermés, sans aucune effusion de sang. Un pro le machin. Un véritable pro. Mais pendant qu'il combattait, la patronne elle qui avait l'habitude de ce genre d'hurluberlu restait la tête posée sur sa main droite qui était elle même soutenu par le bureau. Enfin un qui avait le cran d'agir et la force nécessaire pour mettre Boun hors combat. Cependant, le fait qu'il n'y est une aucune effusion de sang était assez inquiétant. L'avait-il vraiment tué ? Une question qui resterait certainement sans réponse, mais quoi qu'il en était, cette blondasse s'adressa alors à la patronne en la menaçant de mort elle et ses deux gardes si elle ne lui remettait pas les clés de ce commerce. Devant cette menace, la patronne resta aussi froide que possible. Elle ouvrit le tiroir du bas et attrapa un paquet de clope, elle en prie une qu'elle mit dans son bec avant de l'allumer.

Patronne : Enfin un qui a le courage de frapper fort dans un endroit aussi peu isolé du bruit. Tu ne dois pas être n'importe qui. Basil Hankok ? Jamais entendu parler ! M'enfin, j'ai une autre proposition à te faire pour le bien de ta conscience. J'ai appuyé sur un bouton qui préviens Boun et Been d'un danger, il va donc bientôt rappliquer ici. Affronte le à la régulière et pas en traître comme tu viens de le faire avec Boun. Si tu gagnes, je te donne les clefs, si tu perd, tu dégages !

HRP : Boun est au sol. Tu as le choix, soit tu acceptes le marché de la patronne, soit tu tue la patronne et tend un piège à Been, mais dans ce cas-là, tu auras la mort de tous sur la conscience et ils reviendront te hanter è_é

Basil regarda un instant le garde inanimé, par terre. Son plan avait fonctionné. Un des deux gardes était à terre. La porte était fermée, l'autre garde inaccessible. Somme toute, un crime parfait. Il lui aurait suffit de trancher la tête de tout ce beau monde pour en avoir terminé avec cette journée. Seulement, la propriétaire lui fit une proposition alléchante. Vaincre son garde du corps au corps à corps et gagner la maison close en échange. Une offre tentante en réalité, et qui avait la qualité de ne pas verser une seule goutte de sang.

Très bien, j'accepte...

Il s'approcha de la propriétaire en tendant sa main droite bien en avant pour conclure le marché. Soudainement, sa main gauche sortit de son dos. Un éclair scintillant. Le senbon s'enfonça directement dans la gorge de la patronne. Une attaque furtive et parfaitement exécutée. Elle tomba au sol. Basil ne put s'empêcher de commenter la situation, même si techniquement, aucun des deux êtres humains ne s'en souviendraient plus tard. Ils étaient plongé dans une léthargie profonde, un sommeil duquel Boun se réveillerait probablement dans peu de temps.

Comme si j'allais accepter un deal venant de quelqu'un en position de faiblesse. Désolé, mais je vous prédit une baisse de prospérité dans les jours à venir sous l'influence de Mercure.

Il traina la patronne sous le bureau et prit sa place à la chaise qui siégeait derrière le bureau. De cette manière, il indiquait clairement ses intentions, et qu'il avait manifestement réussit. Le jumeau allait sans aucun doute s'arranger pour pénétrer dans la pièce d'ici peu de temps. Son frère allait encore faire dodo quelques temps, mais surtout, voulait-il rejoindre sa patronne ? Il commença à parler à voix haute, certain de son coup. Echec et mat, patronne. Et puisqu'il se trouvait dans une pièce où on pouvait facilement entendre - quelle idée pour un bureau quand même, le moins qu'on pouvait faire c'était laisser son boss tranquille surtout quand tout le monde couchait tout autour avec autant de bruit - il parla fort à l'intention du jumeau.

Boun je suppose ? ou Been alors ? Ton frère devrait se réveiller d'ici une demi-heure. Prends le et fous le camp, tu conviendras facilement que si j'ai put m'en débarrasser aussi facilement je n'aurais aucun mal à faire de même pour toi. Je n'ai sincèrement aucune envie de te découper.

Il posa délicatement son sabre sur le bureau, s'admirant dans le reflet métallique.

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Conquête by Enjin « la mâche »

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La patronne s'écroula sous le coup de p**** de cet homme nommé Basil. Alors que lui fignolait ses affaires, Been qui avait sentit un danger se précipitait vers la porte et tenta de l'ouvrir. En vain, la porte était bloqué de l'intérieur. Quel fils de p***. Alors qu'il prenait un peu de recul, il entendit l'homme se vanter d'avoir mis son frère hors combat. A cette idée, notre garde s'énerva et se mit à courir en direction de la fenêtre. Le visage déformé par la haine, il traversa la fenêtre dans un grand bruit de fracas.

Been : Va chier conn*** !!

Sans perdre un instant, il pris appui sur ses mains et tenta de la frapper avec un coup de Taekwondo. Voyons voir s'il n'avait pas que d'la gueule.

Action : Sakkyaku Nage ( T'en verras les dégâts plus tard si tu te le prend è_é )

Le magicien observa calmement le garde traverser la fenêtre pour l'affronter. C'était dérangeant, il faudrait la remplacer. Cela ferait des frais supplémentaires... Gênant. Les yeux rouges de Basil rencontrèrent ceux de Been. Ce dernier fit l'erreur de l'insulter. Soit. Il allait le payer de sa propre chair, et de son propre sang. Le coup de pied s'élança en direction du crâne du Shukun... mais ne traversa que le vide. Une simple esquive avait suffit à l'employeur.

Ton Destin est funeste. J'y lis de la tragédie et de la souffrance.

Il virevolta brusquement. Sous la force centrifuge, ses cheveux s'élevèrent en tournoyant. Sa main libre traversa la masse capillaire et se planta dans le cou de Been. Le dernier senbon venait de toucher l'adversaire. Habilement caché dans les cheveux, ce genre d'arme était dangereusement mortel pour quelqu'un du calibre du Shukun. L'aiguille d'acier s'enfonça avec une facilité déconcertante dans le point de pression visé. Un sommeil léthargique allait le faire tomber dans les limbes de Léthée.

J'y lis du désespoir, et du sang. Oui, du sang...

Le sabre se leva... avant de s'enfoncer dans le ventre du boxeur. On n'attaquait pas impunément le Magicien, surtout après qu'il ait gracieusement proposé de s'en tirer aussi aisément. Le sang se répandrait rapidement sur la moquette mais Basil s'en moquait. Boun ne risquait pas de se réveiller de si tôt, et il disposait désormais d'une excellente raison pour emmener son frère à l'hôpital. La Boss se réveillerait plus tard. Toute seule. Parfait pour reprendre possession de l'affaire. Il déchira un morceau de vêtement de sa patronne avant de commencer à nettoyer sa lame.

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Conquête by Enjin « la mâche »

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Cet homme n'était pas normal ! Non, il n'avait vraiment rien de normal. En un simple coup de main, il avait fait tombé Been, tout comme son frère, dans un état léthargique. Puis, dans un élan de sadisme incroyable, il avait planté son sabre dans le ventre de Been qui ne pouvait strictement rien faire vu qu'il avait été réduit en un seul instant à l'état de légume. Basil ! Tel était le nom de cet homme. Résultat, la patronne était dans un état léthargique, Boun l'était égalemment donc impuissant, et Been lui aussi sous état léthargique avait un trou dans le ventre. Cet homme avait rapidement pris le contrôle des choses.

Tu es un sale b*** è_é. Varie un peu, la léthargie, c'est démodée . Les trois sont hors combat, libre à toi de faire ce que bon te plaira. Je continue à te suivre si tu le souhaite, mais le combat cesse ici. Tâche de te compliquer la vie la prochaine fois, ça n'en sera que plus dangereux, mais l'interdit est excitant

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